Un physicien révèle que notre existence n’est qu’une illusion et explique pourquoi
Auteur: Simon KabbajL’idée que nous pourrions vivre dans une simulation a longtemps été reléguée à la science-fiction. Pourtant, un physicien du nom de Melvin Vopson affirme avoir trouvé des indices suggérant que notre réalité pourrait ne pas être aussi “réelle” qu’on le pense. En étudiant le virus responsable du Covid-19, il a observé des anomalies dans les mutations génétiques qui pourraient remettre en question la théorie de l’évolution et appuyer l’hypothèse d’un univers simulé.
1. La théorie de la simulation : Un concept fascinant
L’hypothèse selon laquelle nous pourrions vivre dans une simulation informatique est une idée qui circule depuis des décennies. Des philosophes, des scientifiques et même des entrepreneurs comme Elon Musk ont exprimé leur conviction que notre monde pourrait être une simple construction numérique sophistiquée. Cette théorie repose sur le postulat que si une civilisation avancée possédait une puissance de calcul illimitée, elle pourrait créer des réalités simulées indiscernables de la réalité physique.
2. L’étude du virus du Covid-19 : Un point de départ inattendu
Le Dr Melvin Vopson a étudié le SARS-CoV-2, le virus à l’origine du Covid-19, qui a causé plus de 7 millions de décès dans le monde selon l’OMS. Son objectif initial n’était pas de prouver la simulation, mais plutôt d’examiner les mutations génétiques du virus. Cependant, ses résultats l’ont conduit à une hypothèse surprenante.
3. Des mutations génétiques qui défient la logique
Le Dr Vopson a étudié le virus du Covid-19 et a observé comment il changeait avec le temps. Normalement, quand un virus évolue, il ajoute ou modifie des éléments de son code génétique, un peu comme si on rajoutait des phrases à une histoire pour la faire grandir.
Mais en regardant des milliers de versions du virus, il a remarqué quelque chose de surprenant : dans 98,92 % des cas, le virus perdait des morceaux de son code au lieu d’en ajouter. Seules 1,08 % des mutations ajoutaient de nouveaux éléments.
Cela lui a rappelé le fonctionnement des ordinateurs : quand on a trop de fichiers, on utilise un programme pour les compresser, c’est-à-dire enlever des éléments inutiles pour gagner de la place sans perdre d’informations importantes.
Donc, au lieu d’évoluer en s’agrandissant, le virus semble “s’optimiser” en supprimant des parties de son code, comme si quelqu’un ou quelque chose cherchait à réduire la quantité d’informations à gérer.
Cela pourrait être un indice que notre univers fonctionne comme un programme informatique qui essaie d’utiliser le moins de données possible, exactement comme un ordinateur qui économise de l’espace.
4. L’infodynamique : Une règle qui ressemble à un programme informatique
Le Dr Vopson a fait un lien entre ses découvertes et une règle appelée la seconde loi de l’infodynamique. Cette loi explique que, dans n’importe quel système, les informations ont tendance à se simplifier et s’organiser de manière plus efficace au fil du temps.
Il compare cela à la façon dont les ordinateurs fonctionnent : lorsqu’un programme informatique est bien conçu, il ne garde que l’essentiel et évite de stocker trop de données inutiles, sinon il deviendrait trop lourd et lent.
Dans un univers simulé, on pourrait s’attendre à voir ce même principe s’appliquer, car un système informatique doit toujours chercher à réduire la quantité d’informations à traiter pour éviter une surcharge.
Cela voudrait dire que, si notre monde suit cette même règle de simplification et d’optimisation, cela pourrait être une preuve que nous vivons dans une sorte de programme informatique.
5. Une remise en question de la théorie de l’évolution ?
L’une des implications les plus controversées de l’étude de Vopson est qu’elle pourrait remettre en cause la théorie de l’évolution. Selon Darwin, l’évolution repose sur des mutations aléatoires qui permettent aux organismes de s’adapter et de survivre. Mais si les mutations ne sont pas aléatoires, comme le suggère l’étude, cela pourrait signifier que notre univers suit un programme prédéfini, renforçant ainsi l’idée d’une simulation.
6. L’optimisation des données : Un signe d’un univers simulé
Si notre univers était une simulation, il nécessiterait un système de gestion des données capable de réduire la charge informatique. Vopson pense que la suppression des nucléotides et la seconde loi de l’infodynamique pourraient être la preuve que notre univers suit un processus d’optimisation et de compression, exactement comme les serveurs informatiques réduisent les fichiers volumineux.
7. Un mystère non résolu : Peut-on prouver la simulation ?
Malgré ces indices troublants, il n’existe toujours aucune preuve irréfutable que nous vivons dans une simulation. Les scientifiques restent sceptiques et soulignent que d’autres explications pourraient justifier ces observations. Cependant, Vopson espère que ses travaux ouvriront la porte à de nouvelles recherches et à des expériences qui pourraient confirmer ou réfuter cette hypothèse.
Conclusion : Et si tout n’était qu’une illusion ?
L’idée que nous pourrions être des êtres numériques dans un programme informatique est à la fois effrayante et fascinante. Les travaux du Dr Vopson ne prouvent pas encore que nous vivons dans une simulation, mais ils soulèvent des questions importantes sur la nature de notre réalité. Peut-être qu’un jour, nous trouverons la réponse ultime… ou peut-être sommes-nous programmé·e·s pour ne jamais la découvrir.