Trump révèle son « choix numéro 1 » pour le prochain pape : révélation qui fait trembler le Vatican
Auteur: Simon Kabbaj
Alors que le monde catholique est encore en deuil après la mort du pape François, une déclaration étonnante vient troubler l’atmosphère solennelle du Vatican. À quelques jours du conclave, Donald Trump, connu pour ses prises de position clivantes, a affirmé quel serait son “choix numéro 1” pour succéder au Saint-Père. Une réponse si déconcertante qu’elle a déclenché une vague d’indignation, de sarcasme… et de rires nerveux. Une chose est certaine : même en dehors du pouvoir, Trump continue de façonner l’actualité… à sa manière.
Un conclave sous tension
Le conclave chargé d’élire le nouveau pape se tiendra dans une semaine, dans la célèbre chapelle Sixtine. Environ 135 cardinaux venus du monde entier s’y rassembleront à huis clos, comme le veut la tradition millénaire. Ce moment crucial pour l’Église catholique est l’un des plus secrets et sacrés du monde religieux. Pourtant, au cœur de cette attente solennelle, la déclaration d’un dirigeant étranger a jeté un froid, en raison du nom pour le moins surprenant qu’il a suggéré.
Une réponse qui désarçonne les croyants
Lorsqu’un journaliste a demandé à cet ancien président qui il voyait comme futur pape, personne ne s’attendait à la réponse qui allait suivre. La scène s’est déroulée devant la Maison-Blanche, dans un cadre informel, presque anodin. Mais la déclaration, captée par les caméras, a aussitôt enflammé les réseaux sociaux. Les internautes n’ont pas tardé à réagir, entre moqueries, consternation et malaise profond. Pour beaucoup, ce “choix numéro 1” relevait plus du gag mal placé que d’une véritable opinion.
Un choix qui divise et fait réagir le Vatican
Le Vatican n’a pas officiellement réagi, mais en coulisses, certains prélats auraient exprimé leur gêne face à cette prise de parole. Sur les réseaux, des commentaires acerbes ont fusé : « Il ne comprend même pas les bases du catholicisme », ou encore « Que va-t-il inventer ensuite ? Une papauté à son image ? ». D’autres se sont montrés plus ironiques : « Va-t-il contester l’élection s’il ne gagne pas ? ». L’humour, parfois grinçant, n’a pas suffi à masquer la gêne provoquée par cette sortie inhabituelle.
Des partisans qui applaudissent malgré tout
Malgré le tollé général, quelques partisans ont salué la déclaration, estimant qu’elle était drôle, originale ou simplement fidèle au style provocateur du personnage. L’un d’eux a écrit : « Il serait un excellent pape ! », tandis qu’un autre ajoutait : « C’est du pur génie comique, même les détracteurs doivent admettre que c’est drôle. » Cette scène rappelle que le personnage reste, même hors mandat, un maître dans l’art de créer la polémique et de captiver l’attention médiatique.
La révélation finale : un choix pour le moins surprenant
C’est finalement dans un sourire à peine dissimulé que le président a révélé : « J’aimerais être pape – ce serait mon choix numéro un. » Une réponse qui a laissé beaucoup sans voix. Était-ce une plaisanterie ? Une provocation ? Ou simplement une manière de détourner l’attention ? Peu importe l’intention réelle, le président américain se désigne lui-même comme successeur du pape a suffi à créer une onde de choc mondiale. Et à rappeler, une fois de plus, que certains aiment occuper le devant de la scène… même dans les contextes les plus sacrés.
Une sortie qui en dit long
Au-delà de l’effet comique ou du scandale provoqué, cette déclaration soulève une question plus large : où se situe la frontière entre l’humour et l’irrespect, surtout dans les moments de deuil et de recueillement ? Pour certains, il ne s’agissait que d’une boutade de plus dans l’univers bien connu de la provocation politique. Pour d’autres, c’était une nouvelle preuve d’un manque de sensibilité envers les traditions religieuses. Une chose est certaine : même dans les circonstances les plus sacrées, certains n’hésitent pas à faire parler d’eux… coûte que coûte.