Une prophétie vieille de 1000 ans annonçait que le pape Léon XIV serait le dernier : un avertissement glaçant pour l’humanité
Auteur: Simon Kabbaj
Le 8 mai 2025, le monde catholique a accueilli un nouveau chef spirituel : le pape Léon XIV, anciennement connu sous le nom de Robert Prevost. Âgé de 69 ans, il a été élu peu de temps après le décès du pape François, survenu le lundi de Pâques. L’élection a été saluée avec joie, notamment en Amérique et au Pérou, deux pays étroitement liés à la vie du nouveau pontife.
Un climat de joie... troublé par un malaise ancien

Alors que des fidèles célébraient l’arrivée du nouveau pape, un courant plus inquiet se faisait entendre. Des théoriciens du complot, mais aussi certains curieux de l’histoire religieuse, ont rapidement ressorti une prophétie ancienne de plus de 1000 ans, laissant entendre que le dernier pape de l’histoire venait d’être élu. Pour certains, cette coïncidence n’en serait pas une.
Une légende qui refait surface au pire moment

La rumeur s’appuie sur un texte appelé la Prophétie des papes, attribué à saint Malachie, un évêque irlandais du XIIe siècle. Selon ce document, le nombre de papes est limité depuis son époque, et le dernier porterait des signes annonciateurs de la fin des temps. Cette idée refait surface à chaque conclave, mais cette fois-ci, l’écho médiatique est plus fort que jamais.
Léon XIV, coïncidence ou signe du destin ?

Le fait que Léon XIV ait été élu à une époque de troubles mondiaux, dans un contexte de perte de confiance dans les institutions religieuses, renforce l’idée que le moment prophétisé serait arrivé. Pour les croyants de la prophétie, il incarne le dernier pontife qui verra l’effondrement de l’Église ou une transformation spirituelle radicale.
Des voix rassurantes face aux peurs

Des théologiens et experts ont rapidement tenté de calmer les inquiétudes. Ils rappellent que cette prophétie a été démentie à plusieurs reprises, et que les noms évoqués dans le texte ne correspondent pas aux papes récents. Par exemple, le dernier pape mentionné, “Pierre le Romain”, n’a rien à voir avec Robert Prevost, ni dans le nom, ni dans les origines. Pour beaucoup, il s’agit d’une lecture symbolique, et non d’un avertissement réel.
Le texte qui a glacé le sang de certains fidèles

Dans la version latine, la prophétie de Malachie se conclut ainsi :
« Pierre le Romain, qui paîtra ses brebis au milieu de nombreuses tribulations. Quand ces choses seront achevées, la ville aux sept collines sera détruite, et le juge terrible jugera son peuple. La fin. »
Cette phrase, aussi poétique qu’inquiétante, a suffi à relancer les spéculations sur l’élection du “dernier pape”.
Faut-il y croire ? Ou simplement réfléchir ?

Même si cette prophétie millénaire semble effrayante, elle peut aussi être vue comme un prétexte pour réfléchir au futur de l’Église et de la foi. Que l’on y croie ou non, elle souligne une chose : notre besoin de sens face aux bouleversements du monde. Et si le rôle du pape Léon XIV n’était pas d’annoncer la fin, mais plutôt d’accompagner un nouveau départ pour les croyants et les institutions ?
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