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L’arme invisible de Bruxelles : quand le pétrole russe devient le nerf de la guerre
Crédit: freepik

Le silence, parfois, est le son le plus assourdissant de la guerre. Pendant que le fracas des armes déchire l’Est de l’Ukraine, c’est dans le calme feutré des salles de réunion bruxelloises qu’une autre bataille s’est jouée, une guerre de chiffres et de volontés, une guerre invisible dont l’onde de choc se veut aussi dévastatrice qu’un missile. Ce vendredi, l’Europe n’a pas envoyé de chars, mais un chiffre. Un simple nombre, forgé au cœur d’un bras de fer diplomatique, destiné à frapper le Kremlin là où l’orgueil et la puissance prennent racine : dans les veines noires de son pétrole.

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