Katherine Schwarzenegger a fait appel à un coach pour se préparer à devenir la belle-mère du fils de Chris Pratt

Pourquoi un coach ? Katherine l’explique très simplement. Être belle-mère, c’est un rôle incroyablement flou. On se retrouve dans une position vraiment unique et, pour être honnête, un peu déroutante.

« Être belle-mère, c’est très déroutant parce que vous n’êtes pas un parent, vous n’êtes pas une nounou, vous n’êtes pas une assistante », a-t-elle confié. On a des responsabilités qui touchent à tous ces domaines, mais on n’est aucune de ces personnes. C’est difficile de savoir où est sa place, en fait. Il n’y a pas de manuel d’instructions pour ça, tout comme pour être parent, mais avec une couche de complexité en plus.

Face à ce casse-tête, Katherine a pris une décision très pragmatique. Son conseil numéro un pour toute personne dans sa situation est clair : « Trouvez un thérapeute ou un coach spécialisé pour les beaux-parents ».

Elle a suivi son propre conseil dès qu’elle et Chris se sont fiancés. Elle raconte que cette aide a été « incroyablement utile » pour elle. Ça lui a permis de comprendre son rôle, de trouver sa place sans empiéter sur celle des autres, et de naviguer dans cette nouvelle vie de famille avec plus de sérénité.

Et le résultat ? Eh bien, ça semble fonctionner à merveille. Le petit Jack, qui a maintenant 12 ans, est entouré d’amour. Katherine souligne avec gratitude que toute la famille s’entend très bien.

Elle, Chris, son ex-femme Anna Faris et même le nouveau mari d’Anna, Michael Barrett, réussissent à gérer l’éducation de Jack tous ensemble. « Nous nous entendons tous très bien, ce qui est une immense bénédiction », a-t-elle déclaré. C’est la preuve qu’une bonne communication est la clé de tout.

Chris Pratt, âgé de 46 ans, était également présent lors de cette discussion. Il a tenu à rendre hommage au rôle souvent difficile du beau-parent. Pour lui, c’est un « travail vraiment important », mais qui peut aussi être ingrat.

Il explique : « Quand un beau-parent fait le dur travail de créer une structure pour un enfant et de le tenir responsable – et que ce n’est pas son enfant biologique – cela peut sembler ingrat. » Ses mots montrent une profonde reconnaissance pour les efforts de sa femme. Pour rappel, l’acteur de Jurassic World a été marié à Anna Faris de 2009 à 2018.

Le plus beau témoignage vient peut-être d’Anna Faris elle-même. Avec le temps, les tensions de la séparation se sont apaisées. Aujourd’hui, elle se dit « plus proche » de Chris Pratt et de sa nouvelle famille. Elle est heureuse de la tournure des événements.

Elle ne tarit pas d’éloges sur Katherine, la décrivant comme « géniale ». « J’adore la façon dont elle se comporte avec Jack », a-t-elle ajouté. Ces mots montrent que, malgré un divorce, il est possible de construire de nouvelles relations saines, basées sur le respect et le bien-être de l’enfant. Une belle leçon de vie, finalement.