Alerte au tsunami déclenchée en Russie après deux puissants séismes

Pas juste un, mais deux tremblements de terre, histoire de bien se faire remarquer. Le plus balèze ? Magnitude 7,4, et pas profond du tout (seulement 19 km sous terre), donc bien plus flippant. Il a tapé à 143 bornes de Petropavlovsk-Kamtchatski, là où y’a 180 000 personnes qui ont dû avoir la peur de leur vie. Et avant ça, bam, une secousse de 6,7 dans la même zone. Imagine la panique dans les chaumières.

Quand la terre tremble comme ça, tout le monde pense à la même chose : le tsunami. Le centre d’alerte a balancé que des vagues d’un mètre max pourraient débarquer sur les côtes russes. Bon, d’après TASS, dans le coin d’Aleutsky (quasi personne n’y habite), ce serait plutôt 60 cm. Ust-Kamtchatsky, 40 cm. Autour de la capitale régionale, à peine 15 cm. Ça a l’air minime, mais franchement, faut pas jouer avec.

Et là, petite frayeur côté Pacifique : même Hawaï s’est retrouvée en alerte, merci le service météo américain. Au final, fausse alerte, ils ont annulé après vérif. Tant mieux, hein ! Les vagues prévues pour Hawaï et le Japon ? Maximum 30 cm, donc rien de bien dramatique, mais ça montre que ces secousses peuvent secouer la planète entière.

Le mot d’ordre ? Coller à l’actu et obéir aux instructions, point. C’est pas le moment d’aller voir la mer de trop près ou de filmer le spectacle pour Instagram. Un tsunami, c’est pas juste une vague, c’est une série entière, et ça peut durer des heures. Bref, prudence maximale.

Le coin a l’habitude de trembler. En 1952, ils ont eu droit à un séisme de magnitude 9,0 – une bête, quoi – qui a même envoyé des vagues jusqu’à Hawaï (personne n’a morflé, ouf). Faut se souvenir qu’un tsunami, c’est jamais juste une grosse vague, c’est plusieurs, qui peuvent débouler à des intervalles complètement aléatoires. Entre noyade, courants qui t’emportent, et débris, faut pas rigoler. Là, bonne nouvelle, zéro blessé et pas de gros dégâts à signaler. Pourvu que ça dure.

Selon la source : abc.net.au