Bon, là, avouez, ça fait du bien de lire une bonne nouvelle pour changer. L’Alzheimer, franchement, ça fout la trouille à tout le monde. Entre la peur de voir ses souvenirs s’effacer et l’angoisse d’être à la charge de ses proches… on se sent vite paumé, impuissant. Alors quand les chercheurs sortent du labo avec un truc qui sent l’espoir, moi, j’ai envie de sauter dessus direct.
Un aliment planqué dans votre frigo
Le meilleur dans cette histoire ? C’est pas un super-aliment venu du fin fond de l’Amazonie, ni une pilule à 100 balles le flacon. Non, c’est un truc que tout le monde a déjà chez soi (sauf si vous vivez sur des chips et du soda, auquel cas… bon courage). Et le plus beau ? Pas besoin d’en manger à chaque repas comme un forcené. Juste deux fois par semaine, tranquille, et hop, potentiellement 40% de risque en moins. Plutôt cool, non ?
Petit rappel flippant mais important
Avant d’entrer dans le vif du sujet, faut rappeler deux-trois trucs : l’Alzheimer, c’est LA maladie qui ruine la mémoire, les gestes simples, tout. Surtout après 65 ans, ça frappe fort. Aux US, y’a déjà plus de 7 millions de seniors touchés, et les experts prévoient que ça va monter à 13 millions en 2050. Pas de remède miracle à l’horizon. Bref, chaque petite astuce pour repousser le truc, on prend !
Pas du blabla, une vraie étude
Alors oui, on entend souvent tout et n’importe quoi côté santé, surtout sur Internet (merci les pseudo-gourous Instagram). Mais là, c’est du sérieux. Des chercheurs américains ont suivi plus de 1000 personnes, toutes nickel niveau mémoire au début de l’expérience. Pendant presque 7 ans, ils ont noté ce que les gens bouffaient, et testé leur mémoire régulièrement. But du jeu : voir si y’a un rapport entre ce qu’on mange et le cerveau qui flanche ou pas. Et là, jackpot.
Suspense… c’est l’œuf qui sort du lot !
Vous vous attendiez à un super-aliment rare ? Eh ben non. Le héros, c’est l’œuf. Oui, oui, l’œuf tout bête, celui de l’omelette du dimanche ou du croque-madame foiré. L’étude relayée par le Daily Mail balance un chiffre qui claque : bouffer des œufs au moins une fois par semaine, ça fait chuter le risque d’Alzheimer de quasi 40%. Pour être précis, 110g d’œuf par semaine – genre deux gros œufs, c’est tout. Facile, non ?
Le jaune, c’est de l’or pour les neurones
Mais pourquoi l’œuf, sérieux ? Tout se joue dans le jaune. Dedans, y’a de la choline, une sorte de nutriment magique pour le cerveau. Imaginez-la comme la logistique des souvenirs, celle qui permet aux neurones de s’envoyer des textos (en vrai, c’est l’acétylcholine, mais bon, on va pas se la péter chimiste). Plus on a de choline, plus le cerveau carbure. Et cerise sur le gâteau, ça aide à lutter contre les fameuses plaques et autres trucs qui foutent la pagaille dans la tête des malades d’Alzheimer.
Un geste simple, pas cher, et franchement faisable
Alors ouais, notre foie fabrique un poil de choline, mais clairement pas assez, surtout en vieillissant. Du coup, faut en choper ailleurs. On en trouve dans le foie de bœuf ou le soja (perso, bof), mais l’œuf, c’est carrément plus simple. Un œuf dur, c’est quasiment 150 mg de choline, soit un quart du besoin quotidien d’un mec moyen. Deux œufs par semaine, et vous faites déjà une belle partie du boulot. C’est pas cher, c’est bon, et franchement, si ça peut calmer l’Alzheimer, pourquoi s’en priver ? Et puis, tant qu’à faire, ajoutez un peu de marche, des apéros avec les potes, et voilà, vous bichonnez votre cerveau dès le petit-déj’. Pas mal, non ?
Selon la source : aufeminin.com