C’est un complexe tenace, presque une petite obsession pour beaucoup de femmes : ces fameux « bras chauve-souris ». Cette zone où la peau se relâche, difficile à raffermir, a longtemps été la bête noire de Relah Winde. Après avoir, dit-elle, tout essayé, cette créatrice de contenus a partagé sur les réseaux sociaux la combinaison qui, pour elle, a enfin porté ses fruits. Et sa solution, étonnamment simple, ne repose que sur deux piliers.
Le constat d'échec des méthodes classiques
Avant de trouver sa routine, le parcours de Relah Winde ressemble à celui de nombreuses autres. Des exercices ciblés pour les triceps, des programmes qui s’étirent sur des mois, et même l’achat d’accessoires « miracles » vendus en ligne… Rien n’y faisait. La graisse localisée sur les bras est notoirement récalcitrante, un peu comme celle qui s’installe sur l’abdomen. On sait aujourd’hui qu’il est presque impossible de décider où notre corps va puiser ses réserves. Une approche globale est donc souvent plus payante. C’est ce que son expérience semble confirmer, mais avec une touche de stratégie.
Premier pilier : le pilates réformeur, pour sculpter en profondeur
Son premier secret, c’est le Pilates réformeur. Oubliez le simple tapis de sol : cette discipline se pratique sur une machine qui ressemble à un banc coulissant, muni de ressorts, de sangles et de poulies. Déjà très prisée des célébrités, cette méthode est une version intensifiée du Pilates classique. Le principe est simple, du moins sur le papier : des mouvements lents et parfaitement contrôlés qui engagent plusieurs groupes musculaires simultanément.
Pour les bras, c’est une petite révolution. Le travail se fait en profondeur, sur toute la longueur du muscle, sans pour autant créer de volume. On sculpte, on allonge, on renforce. Relah Winde assure que deux séances par semaine ont suffi à redessiner ses bras, mais aussi à améliorer sa posture générale et à gainer sa sangle abdominale. Un bénéfice collatéral non négligeable.
Une pratique plus accessible qu'il n'y paraît
Bien sûr, l’image du Pilates réformeur est souvent associée à des studios exclusifs et à des tarifs élevés. C’est une réalité. Cependant, des alternatives plus accessibles commencent à voir le jour, avec des enseignes qui démocratisent la pratique. Pour celles qui préfèrent s’entraîner à la maison, des machines domestiques existent, et il est même possible de simuler une partie du travail au sol, avec de simples élastiques de résistance pour recréer la tension des ressorts.
Second pilier : le stairmaster, la machine à brûler les graisses
Le deuxième volet de sa routine est bien plus commun. Il s’agit du StairMaster, ce simulateur d’escaliers que l’on croise dans toutes les salles de sport. À première vue, on pense surtout à un exercice pour les jambes et les fessiers. Pourtant, il s’agit d’une redoutable machine cardio qui permet de brûler un maximum de calories, et donc de déstocker les graisses sur l’ensemble du corps.
L’astuce de Relah Winde ? Transformer cet exercice en un entraînement complet. Durant ses sessions de 45 minutes, elle ne se contente pas de monter les marches. Elle y intègre des mouvements de bras synchronisés, parfois en s’aidant de petits haltères, pour maintenir le haut du corps actif. L’escalier devient alors un prétexte pour un travail global et intense.
l'importance de l'équation globale
La combinaison des deux est logique : le Pilates construit et tonifie le muscle en profondeur, tandis que le StairMaster aide à brûler la couche de graisse qui le recouvre. L’un révèle le travail de l’autre. Cependant, Relah Winde le précise elle-même, il n’y a pas de formule magique. Cette routine sportive s’accompagnait d’un mode de vie équilibré, notamment une alimentation plus riche en protéines et en fibres pour soutenir l’effort musculaire. Au fond, son témoignage rappelle une vérité simple : la solution réside moins dans un exercice miracle que dans une alliance intelligente et, surtout, une bonne dose de régularité.
Selon la source : aufeminin.com