Jetée d’un toit à Dubaï : une mannequin révèle les 4 mots glaçants qu’elle a entendus avant l’horreur
Auteur: Simon Kabbaj
C’est une histoire qui fait froid dans le dos et qui lève le voile sur la face la plus sombre de l’ultra-luxe à Dubaï. Maria Kovalchuk, une jeune mannequin ukrainienne de 20 ans, a été retrouvée au bord d’une route, grièvement blessée, après avoir ‘chuté d’une grande hauteur’. Mais derrière cette version officielle, elle raconte une histoire bien plus terrifiante : une soirée avec de ‘riches enfants russes’ qui a dégénéré en agression, et quatre mots qui résonnent encore dans sa tête comme une condamnation.
Le début du piège : une invitation qui semble trop belle pour être vraie
L’histoire de Maria commence par un simple contretemps. Alors qu’elle est en transit à Dubaï, elle rate son vol pour la Thaïlande. C’est là qu’elle rencontre un homme qui lui fait une proposition alléchante : son père, très riche, pourrait lui prêter son jet privé pour qu’elle puisse rejoindre sa destination. En attendant, il l’invite à rester dans sa chambre d’hôtel. Une offre qui, pour une jeune femme seule dans un pays étranger, peut sembler providentielle.
La soirée qui dégénère
Mais la chambre d’hôtel se transforme vite en lieu de fête, avec ce que Maria décrit comme de ‘riches enfants russes’. L’ambiance devient rapidement agressive. Comme elle refuse de boire de l’alcool, les hommes commencent à la bousculer. Ils lui confisquent ses affaires, y compris son passeport, la rendant complètement prisonnière.
Les quatre mots qui ont tout changé : 'Tu nous appartiens'
Et c’est là qu’elle entend ces quatre mots, qui ont fait basculer la soirée dans l’horreur. Les hommes lui lancent : ‘Tu nous appartiens‘ (‘You belong to us’). Elle raconte avoir ‘essayé de prendre ça comme une blague’, mais ils ont immédiatement ajouté : ‘Nous ferons ce que nous voulons‘. La menace est claire. Pour l’intimider, ils se mettent à casser des bouteilles par terre.
La tentative de fuite et la traque
L’agressivité monte encore d’un cran quand les hommes ‘laissent entendre’ qu’ils veulent des relations avec elle. Maria tente alors de s’échapper, mais ils la ‘ramènent de force dans la chambre’. Elle réussit finalement à s’enfuir et se réfugie sur un chantier de construction voisin. ‘Je savais qu’ils arrivaient’, raconte-t-elle. Les hommes la traquent, la retrouvent et, selon ses dires, la ‘frappent’.
Le trou noir et les blessures terribles
La suite est un trou noir. Maria ne se souvient plus de la violence qu’elle a subie. Mais ses blessures parlent d’elles-mêmes : colonne vertébrale et membres cassés. Des blessures compatibles soit avec un passage à tabac très violent, soit avec une chute d’une grande hauteur. ‘Je pense que j’ai peut-être été jetée‘, dit-elle. ‘Le souvenir suivant que j’ai, c’est moi demandant de l’aide à une voiture qui passait’. Aujourd’hui, elle est en fauteuil roulant et réapprend à marcher avec des béquilles.
Une enquête qui pose question
Ce qui ajoute à l’horreur, c’est le sentiment d’impunité. Maria accuse la police de Dubaï d’avoir attendu trois mois avant de commencer à enquêter, juste assez de temps pour que les enregistrements des caméras de surveillance soient effacés. ‘Il n’y a donc plus de preuves’, déplore-t-elle. Les hommes, eux, ont été détenus une seule journée avant d’être relâchés. Leur version ? Ils cherchaient juste à l’aider… La police aurait même suggéré, selon la mère de Maria, que la jeune femme avait tenté de se suicider ‘pour protéger son honneur’.
Conclusion : le silence acheté ?
Selon la source : ladbible.com