Notre deuxième cerveau, une sagesse que l’ayurveda connaît depuis toujours
Cette connexion intime, baptisée aujourd’hui « axe intestin-cerveau », n’est pourtant pas une découverte. Dans la tradition ayurvédique, cette conversation permanente est une évidence enseignée depuis des siècles. Pour cette médecine ancestrale, la clarté d’esprit et la stabilité psychologique dépendent directement de notre capacité à bien digérer. Agir sur sa flore intestinale, c’est donc prendre soin de sa tête.
Manger vivant pour nourrir son 'prana'
À l’inverse, les plats préparés, conservés longtemps ou réchauffés plusieurs fois seraient comme vidés de leur substance. L’Ayurveda met aussi en avant certains aliments comme le ghee (beurre clarifié) ou le miel de qualité, considérés comme de véritables concentrés de ‘prana’.
Le déjeuner, véritable pivot de la journée digestive
Faire du déjeuner son repas principal permettrait d’optimiser l’assimilation des nutriments et de fournir à l’organisme l’énergie dont il a besoin pour le reste de la journée. Le soir, un dîner léger préserve cette vitalité, évite de surcharger le système digestif et favorise un sommeil réparateur. Une logique qui va un peu à contre-courant de nos habitudes occidentales.
Savoir s’arrêter, ou l’éloge de la quasi-satiété
En évitant le trop-plein, on prévient les lourdeurs et on réduit les déséquilibres, tant physiques qu’émotionnels, qui découlent d’une digestion laborieuse. C’est une règle simple qui change beaucoup de choses.
Conclusion : une philosophie douce, pas une révolution brutale
Selon la source : passeportsante.net