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Le blues de l’hiver n’est pas une fatalité : comment retrouver l’énergie quand les jours raccourcissent
Crédit: freepik
Le changement d’heure a sonné le glas des longues journées ensoleillées. Pour beaucoup, l’arrivée de l’hiver s’accompagne d’une baisse de moral, d’une fatigue persistante, souvent balayée d’un revers de main sous le nom de « blues hivernal ». Pourtant, ce mal-être est bien réel. Il peut prendre la forme d’une simple déprime saisonnière ou, dans les cas plus sévères, d’un trouble affectif saisonnier (TAS), qui touche entre 2 et 6 % de la population canadienne.

Le principal coupable ? Le manque de lumière naturelle, qui vient perturber notre horloge biologique interne. Notre cerveau produit moins de sérotonine (le régulateur de l’humeur) et continue de sécréter de la mélatonine (l’hormone du sommeil) même en plein jour. Le résultat : une sensation de léthargie quasi constante. Mais plutôt que de subir ces mois plus sombres, il est possible d’agir.

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