Des images qui interrogent

Une enquête sur le terrain

« Nous pensons qu’il s’agissait de vieilles toilettes portables », explique Jennifer Betz, vétérinaire et directrice médicale du programme, dans une interview. Le liquide bleu, typique de ces installations, aurait ainsi imprégné leur pelage. Elle insiste sur un point crucial : « Nous ne disons en aucun cas que cela est lié à la radiation à Tchernobyl ».
Des animaux en bonne santé, malgré tout

Un phénomène pas si unique

Les fantômes à quatre pattes de la catastrophe

Conclusion : la résilience de la vie sauvage
