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Cambriolage du Louvre : le filet se resserre, mais le mystère des joyaux demeure
Crédit: freepik

De nouveaux suspects sous les verrous

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L’enquête sur le spectaculaire cambriolage du Louvre connaît un nouveau tournant. Ce samedi 1er novembre, deux nouvelles personnes ont été mises en examen et écrouées, portant à quatre le nombre de suspects en détention. Pendant que la justice avance, les joyaux de la Couronne, eux, restent désespérément introuvables.

Retour sur un casse d’une audace folle

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On en parle déjà comme du « casse du siècle ». Le 19 octobre dernier, en pleine matinée, quatre individus ont utilisé un monte-charge pour atteindre le premier étage du musée le plus célèbre du monde. Une fenêtre de la galerie d’Apollon brisée, une disqueuse pour forcer les vitrines, et en quelques minutes, des trésors nationaux s’évaporaient. Parmi les pièces dérobées, des bijoux d’une valeur historique inestimable, comme le diadème de l’impératrice Eugénie et un collier ayant appartenu à l’impératrice Marie-Louise.

L’enquête s’accélère avec deux nouvelles interpellations

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Après un premier coup de filet le 25 octobre, l’enquête a connu une avancée significative cette semaine. Suite à une vague d’interpellations mercredi, un homme de 37 ans et une femme de 38 ans ont été présentés à un juge. Selon France Info, le premier est soupçonné d’avoir fait partie du commando et d’avoir volé la nacelle utilisée pour le méfait. La seconde serait une complice présumée. Tous deux ont été placés en détention provisoire, malgré leurs dénégations.

Quatre suspects en détention, mais un butin de 88 millions d’euros volatilisé

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Avec ces deux nouvelles mises en examen, ce sont donc quatre personnes qui dorment aujourd’hui en prison dans le cadre de cette affaire. Les deux premiers suspects, des hommes de 34 et 39 ans, avaient été arrêtés quelques jours après les faits. L’un d’eux, stoppé in extremis à l’aéroport de Roissy alors qu’il s’apprêtait à fuir en Algérie, aurait même laissé des traces ADN sur les lieux. Si l’étau se resserre sur les auteurs, la question qui hante les enquêteurs reste la même : où sont passés les 88 millions d’euros de bijoux ?

Un fléau qui n’épargne personne, surtout pas les célébrités

Ce vol spectaculaire rappelle que personne n’est à l’abri. Le monde des célébrités en sait quelque chose, lui qui est régulièrement la cible de cambriolages, parfois violents. On se souvient du home-jacking traumatisant de Kim Kardashian à Paris en 2016 ou de celui de Bernard Tapie et son épouse en 2021. Mais la liste est longue et touche tous les milieux : de Jean-Pierre Pernaut à Jamel Debbouze, en passant par Marion Cotillard ou plus récemment l’animateur Bruno Guillon. Des vols qui visent des bijoux, des montres, mais aussi parfois des objets plus personnels, laissant des traces bien au-delà du préjudice matériel.

Conclusion : entre fascination populaire et enjeu de sécurité

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Preuve de l’impact de l’affaire sur l’imaginaire collectif, des déguisements inspirés des voleurs du Louvre ont fleuri pour Halloween, partagés massivement sur les réseaux sociaux. Derrière cette fascination un peu morbide se cache une réalité plus crue : la vulnérabilité de notre patrimoine et de nos domiciles face à des bandes de plus en plus organisées. L’enquête sur le vol du Louvre n’est pas seulement une course contre la montre pour retrouver des joyaux ; c’est aussi un symbole des défis sécuritaires de notre époque.

Selon la source : femmeactuelle.fr

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