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Ces pilules miracles qui nous inquiètent: l’usage prolongé des anti-reflux sous surveillance
Crédit: lanature.ca (image IA)

Oméprazole, lansoprazole, pantoprazole… Ces noms, synonymes d’inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), sont entrés dans le vocabulaire quotidien de millions de Français. Redoutablement efficaces contre le reflux gastro-œsophagien, les ulcères ou les brûlures d’estomac, ces médicaments comptent parmi les plus prescrits dans l’Hexagone.

Pourtant, derrière cette banalisation se cache une inquiétude croissante : une série d’études internationales récentes s’interroge sur l’innocuité des IPP en cas d’usage prolongé, soulevant notamment la possibilité d’un sur-risque de cancer gastrique. Une nouvelle analyse fait le point sur ce signal scientifique qui appelle à la prudence.

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