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L’identité de Jack l’Éventreur enfin révélée ? Une preuve ADN pourrait tout changer
Crédit: lanature.ca / IA

Le mystère qui hante Londres depuis plus d’un siècle

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L’histoire de Jack l’Éventreur… rien que le nom fait frissonner. C’est l’une des affaires criminelles les plus célèbres, et surtout, les plus mystérieuses de l’histoire britannique. On se souvient tous de ces histoires qui nous ont tenus en haleine. En 1888, un tueur en série terrorisait les rues de Londres.

Cinq femmes, Elizabeth Stride, Mary Jane Kelly, Mary Ann Nichols, Annie Chapman et Catherine Eddowes, ont perdu la vie. On dit qu’elles étaient des travailleuses du sexe. Mais ce n’était pas de simples meurtres. Non, l’assassin mutilait ses victimes, leur retirant même des organes. Une horreur absolue qui a marqué les esprits à jamais, et qui, jusqu’à aujourd’hui, n’avait jamais été résolue.

Une pièce à conviction refait surface

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Et puis, plus de cent ans après les faits, un historien du nom de Russell Edwards pense avoir enfin percé le secret. Pour lui, le coupable pourrait bien être l’un des hommes que la police soupçonnait déjà à l’époque. Tout a commencé en 2007, quand M. Edwards a eu une idée un peu folle : il a acheté un châle qui aurait appartenu à Catherine Eddowes, l’une des victimes.

Son but ? Le faire analyser avec les techniques modernes. Et il a bien fait. Les tests ont révélé des traces de sang et de sperme sur le tissu. C’était peut-être la clé que tout le monde attendait depuis si longtemps.

Quand l’ADN fait parler le passé

C’est là que la science entre en jeu. Les analyses ADN ont donné des résultats assez incroyables. D’un côté, le sang correspondait à celui d’un descendant de la victime, Catherine Eddowes. Ça confirmait déjà que le châle était bien le bon. De l’autre, le sperme correspondait à un parent éloigné de l’un des principaux suspects de l’affaire : un certain Aaron Kosminski.

Dans son livre, « Naming Jack the Ripper », Edwards l’affirme sans détour : « Il n’est plus juste un suspect. Nous pouvons enfin le tenir pour responsable de ses actes terribles. Ma quête est terminée : Aaron Kosminski est Jack l’Éventreur. » C’est une déclaration pour le moins audacieuse, vous ne trouvez pas ?

Aaron Kosminski : un nom qui n’est pas inconnu

Image de synthèse d’Aaron Kosminski (Russell Edwards)

 

Ce nom, Kosminski, n’est pas sorti de nulle part. La police de l’époque le surveillait déjà de près. Mais il faut rester prudent. D’autres experts ont émis des doutes sur la fiabilité de l’analyse, en particulier sur ce qu’on appelle l’ADN mitochondrial. Apparemment, il y aurait un risque de fausse correspondance. C’est toujours compliqué, ces histoires d’ADN ancien.

Malgré tout, Russell Edwards est convaincu. Il espère que sa découverte permettra de rouvrir officiellement l’enquête, pour que la vérité soit enfin reconnue par la justice.

La quête de justice des familles

Et il n’est pas le seul à le vouloir. Les descendants des victimes, eux aussi, demandent que justice soit faite. Karen Miller, une descendante directe de Catherine Eddowes, se bat pour que le nom de Kosminski soit officiellement prononcé dans un tribunal.

Elle a expliqué au Daily Mail : « Le nom de Jack l’Éventreur est devenu une sorte de personnage de fiction. On a oublié les victimes, qui n’ont jamais eu justice. » Elle ajoute : « Faire en sorte que le vrai coupable soit légalement nommé par un tribunal serait une forme de justice pour elles. » On peut la comprendre. C’est une manière de leur rendre leur dignité, après toutes ces années.

Conclusion : Le dossier sera-t-il un jour refermé ?

Alors, où en sommes-nous aujourd’hui ? Eh bien, en février 2025, une demande a été envoyée au procureur général pour obtenir l’autorisation de porter l’affaire devant la Haute Cour. L’objectif est clair : « Nous connaissons le nom et nous avons placé le meurtrier sur la scène du crime. Maintenant, nous voulons que cela soit reconnu par les tribunaux », a insisté M. Edwards.

Pour l’instant, il semble que le dossier n’ait pas encore été officiellement rouvert. Mais qui sait ? Après plus de 130 ans de mystère, on n’a peut-être jamais été aussi proche de mettre un point final à l’une des plus grandes énigmes criminelles de l’histoire. Une affaire à suivre, assurément.

Selon la source : thelondoneconomic.com

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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