Gelée jusqu’à la mort : une femme retrouvée morte dehors à -18 °C dans un centre pour seniors au Canada
Auteur: Simon Kabbaj
Une découverte macabre au petit matin

Son petit-fils, Marc-Olivier Naud, est arrivé peu après, le cœur en miettes. Il a confié aux journalistes son incompréhension totale, répétant cette phrase terrible : « Elle est morte gelée, pensez-y… ». Sa mère avait pourtant parlé à Jeanne la veille au soir, et tout semblait aller pour le mieux. C’est le genre de nouvelle qui vous assomme, qui semble irréelle. La famille est aujourd’hui plongée dans un cauchemar éveillé, cherchant à comprendre comment une femme vulnérable a pu se retrouver seule dehors, par moins 24 degrés, sans que personne ne s’en aperçoive.
Des failles de sécurité qui soulèvent la colère

Le petit-fils souligne l’absurdité de payer des sommes astronomiques — entre 4 000 $ et 5 000 $ par mois — pour un service qui n’assure même pas une sécurité de base. « Quelqu’un, quelque part, devra répondre de cela », a-t-il lancé. Ce n’était apparemment pas la première fois qu’elle sortait seule, mais l’été, les conséquences sont moins fatales. Un résident de l’immeuble, George, a même confié qu’après 21h30, il n’y a plus personne à l’accueil. Vous imaginez ? Une résidence pour aînés sans surveillance nocturne adéquate ? C’est un pari risqué avec la vie des gens.
Conclusion : Enquête et questions sans réponse

L’enquête est désormais entre les mains du bureau du coroner. C’est la coroner Amélie Lavigne qui aura la lourde tâche de faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame. Elle pourra, on l’espère, émettre des recommandations pour éviter qu’une telle horreur ne se reproduise. Car au-delà du fait divers, c’est toute la gestion de nos aînés vulnérables qui est remise en question ici. En attendant les résultats, la famille doit faire son deuil avec cette image insupportable en tête, et une colère qui ne risque pas de s’éteindre de sitôt.
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