L’éternité n’est plus ce qu’elle était

Ces scientifiques, un mélange curieux de mathématiciens et d’experts en astrophysique, affirment que même les objets les plus solides finissent par s’évaporer. Rien ne résisterait vraiment au temps, pas même ces vieilles étoiles à neutrons qui semblaient indestructibles. C’est un peu comme si l’univers avait une date de péremption cachée quelque part. Je trouve ça presque poétique, cette idée que tout, absolument tout, finit par disparaître en poussière d’énergie, balayant nos certitudes sur l’immortalité de la matière. Une leçon d’humilité cosmique, en somme.
Au-delà des trous noirs : la fuite d’énergie

Ils ont regardé du côté des étoiles à neutrons et des naines blanches, ces restes d’étoiles ultra-compacts. La gravité y est si forte qu’elle tord littéralement l’espace autour d’elle. Selon leur théorie, cette courbure suffit à créer des particules et à drainer l’énergie de l’étoile. C’est fascinant de se dire que la simple forme de l’espace peut grignoter la matière, vous ne trouvez pas ? C’est un peu technique, je vous l’accorde, mais l’idée de base reste simple : même sans être un trou noir, si un objet est assez dense, l’univers finit par le dissoudre lentement.
Comment l’univers efface ses traces

Ce qui est curieux — enfin, façon de parler — c’est que d’autres particules retombent sur l’étoile et la réchauffent. Vu de l’extérieur, l’objet semble briller faiblement, comme s’il avait de la fièvre. Les chercheurs expliquent que plus l’objet est compact, plus il « cuit » vite. C’est un peu contre-intuitif, non ? On pourrait croire que le plus costaud résiste le mieux, mais ici, c’est l’inverse : la densité accélère la fin. Les trous noirs supermassifs, moins denses en moyenne, seraient donc paradoxalement les derniers survivants de cette très longue histoire cosmique.
Tout n’est qu’un passage

Bien sûr, pas de panique pour vos projets de la semaine prochaine ! On parle ici d’un futur si lointain que l’esprit humain ne peut même pas vraiment l’appréhender. Mais je trouve qu’il y a une certaine beauté dans cette fin programmée. Walter van Suijlekom, l’un des auteurs, espère que ces travaux nous aideront à percer les mystères de la gravité. Tout n’est qu’un cycle, finalement. L’univers s’écrira un dernier chapitre très long, certes, mais qui aura bel et bien un point final. Et c’est peut-être très bien comme ça.
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.