Une étude française massive révèle que les vaccins Covid ARNm sont liés à une baisse de 25 % de la mortalité générale
Auteur: Mathieu Gagnon
Une surprise de taille venue de France

Concrètement, les chiffres donnent le vertige et défient un peu l’intuition. Si l’on s’attendait évidemment à ce que le vaccin protège contre les formes graves du Covid – une réduction de 74 % des décès liés à la maladie, tout de même –, personne n’avait vraiment anticipé un tel écart sur le reste. Les personnes vaccinées ont environ 25 % de chances en moins de mourir dans les quatre années suivantes par rapport aux non-vaccinés. C’est énorme. On pourrait croire à une erreur de calcul, mais vu la taille de l’échantillon, c’est du solide. Cela remet pas mal de choses en perspective concernant la sécurité de ces injections à long terme.
Des millions de données pour y voir plus clair

D’ailleurs, parlons-en de ces rumeurs. Récemment, certains bruits de couloir venant des États-Unis évoquaient des dangers cachés, mais sans jamais fournir de preuves concrètes. Cette étude française vient balayer ces craintes avec des faits tangibles, observés sur environ 45 mois. Au lieu de se baser sur des « on-dit », on regarde les dossiers médicaux réels. Et que voit-on ? Que les vaccinés, bien qu’ils aient reçu leur dose, se portent globalement mieux. C’est un peu comme si, en voulant vérifier une fuite d’eau, on découvrait que les fondations de la maison sont plus solides qu’on ne le pensait. Une nouvelle plutôt réconfortante, n’est-ce pas ?
Biais de santé ou réelle protection ?

Il faut tout de même rester prudent sur un point important : le niveau de vie. L’étude note que les habitants des zones les plus modestes se sont un peu moins fait vacciner. On sait que la précarité joue malheureusement sur l’espérance de vie, c’est un fait triste mais réel. Cependant, les chercheurs estiment que cet écart n’est pas assez grand pour expliquer à lui seul cette différence massive de mortalité. Il y a probablement d’autres facteurs en jeu, comme le comportement, ce que les scientifiques appellent des « facteurs de confusion ». Mais même en tenant compte de tout ça, le vaccin reste associé à une protection bien plus large qu’on ne l’imaginait.
Vers une vision apaisée ?
Mais une chose devient claire comme de l’eau de roche : l’idée que ces vaccins représentent un danger mortel immédiat semble de plus en plus farfelue. Avec une réduction de 25 % du risque de décès toutes causes confondues, la balance bénéfice-risque penche lourdement du bon côté. C’est une bouffée d’air frais face aux théories anxiogènes. Au fond, cette étude nous rappelle que la médecine, même imparfaite, reste notre meilleure alliée. On peut respirer un peu mieux en sachant que, globalement, on a fait le bon choix pour notre santé et celle de nos proches.
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