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Une étude française massive révèle que les vaccins Covid ARNm sont liés à une baisse de 25 % de la mortalité générale
Crédit: lanature.ca (image IA)

Une surprise de taille venue de France

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On s’est tous posé des questions sur ces vaccins, c’est bien normal, non ? Eh bien, une étude française absolument colossale vient de tomber, et franchement, les résultats risquent de vous surprendre autant que moi. Imaginez un peu : ils ont suivi près de la moitié de la population française, des millions de dossiers épluchés à la loupe pendant des années. Ce n’est pas une petite enquête de quartier ! Les chercheurs ont constaté que les adultes vaccinés avec la technologie ARNm avaient nettement moins de risques de décéder par la suite. Et tenez-vous bien, on ne parle pas uniquement des décès liés au virus lui-même, mais de la mortalité toutes causes confondues. C’est plutôt rassurant, je trouve, surtout après tout ce vacarme médiatique.

Concrètement, les chiffres donnent le vertige et défient un peu l’intuition. Si l’on s’attendait évidemment à ce que le vaccin protège contre les formes graves du Covid – une réduction de 74 % des décès liés à la maladie, tout de même –, personne n’avait vraiment anticipé un tel écart sur le reste. Les personnes vaccinées ont environ 25 % de chances en moins de mourir dans les quatre années suivantes par rapport aux non-vaccinés. C’est énorme. On pourrait croire à une erreur de calcul, mais vu la taille de l’échantillon, c’est du solide. Cela remet pas mal de choses en perspective concernant la sécurité de ces injections à long terme.

Des millions de données pour y voir plus clair

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Ce qui donne du poids à cette analyse, c’est vraiment sa méthode. Souvent, les études se contentent de petits groupes ou de sondages, ce qui laisse place au doute, vous ne croyez pas ? Ici, l’équipe de Laura Semenzato a eu accès au « Graal » : les données de santé de toute la France. Ils ont pu suivre le parcours de près de 29 millions de personnes âgées de 18 à 59 ans. C’est gigantesque. En se concentrant sur cette tranche d’âge active, on évite de fausser les résultats avec les décès naturels des personnes très âgées. C’est une approche maline qui permet de voir la réalité en face, loin des rumeurs alarmistes qui circulent parfois sur internet.

D’ailleurs, parlons-en de ces rumeurs. Récemment, certains bruits de couloir venant des États-Unis évoquaient des dangers cachés, mais sans jamais fournir de preuves concrètes. Cette étude française vient balayer ces craintes avec des faits tangibles, observés sur environ 45 mois. Au lieu de se baser sur des « on-dit », on regarde les dossiers médicaux réels. Et que voit-on ? Que les vaccinés, bien qu’ils aient reçu leur dose, se portent globalement mieux. C’est un peu comme si, en voulant vérifier une fuite d’eau, on découvrait que les fondations de la maison sont plus solides qu’on ne le pensait. Une nouvelle plutôt réconfortante, n’est-ce pas ?

Biais de santé ou réelle protection ?

credit : lanature.ca (image IA)
On pourrait se dire, avec un brin de scepticisme – et je vous comprends –, que ces chiffres sont biaisés. Peut-être que les gens non vaccinés étaient déjà en plus mauvaise santé au départ ? C’est ce que je pensais aussi avant de lire les détails. Eh bien… non, c’est même l’inverse ! Les dossiers montrent que les personnes vaccinées avaient en réalité plus de conditions médicales préexistantes, comme des soucis cardiaques (environ 9,3 % contre 7,8 % chez les non-vaccinés). C’est assez incroyable quand on y pense : ceux qui partaient avec un léger handicap de santé ont finalement mieux survécu. Cela tord le cou à l’idée que le vaccin affaiblirait l’organisme des plus fragiles.

Il faut tout de même rester prudent sur un point important : le niveau de vie. L’étude note que les habitants des zones les plus modestes se sont un peu moins fait vacciner. On sait que la précarité joue malheureusement sur l’espérance de vie, c’est un fait triste mais réel. Cependant, les chercheurs estiment que cet écart n’est pas assez grand pour expliquer à lui seul cette différence massive de mortalité. Il y a probablement d’autres facteurs en jeu, comme le comportement, ce que les scientifiques appellent des « facteurs de confusion ». Mais même en tenant compte de tout ça, le vaccin reste associé à une protection bien plus large qu’on ne l’imaginait.

Vers une vision apaisée ?

Alors, que doit-on retenir de toute cette avalanche de chiffres ? Tout simplement que les craintes d’une « hécatombe » causée par les vaccins à ARN messager ne tiennent pas la route face à la réalité du terrain. Voir un taux de mortalité si bas chez les vaccinés, même des années après l’injection, est extrêmement rassurant. Bien sûr, il est difficile de dire que c’est uniquement grâce au vaccin. Il est possible que les gens qui acceptent la vaccination soient aussi ceux qui mettent leur ceinture de sécurité ou mangent plus de légumes, qui sait ? C’est la nature humaine, on cherche toujours à se protéger au mieux.

Mais une chose devient claire comme de l’eau de roche : l’idée que ces vaccins représentent un danger mortel immédiat semble de plus en plus farfelue. Avec une réduction de 25 % du risque de décès toutes causes confondues, la balance bénéfice-risque penche lourdement du bon côté. C’est une bouffée d’air frais face aux théories anxiogènes. Au fond, cette étude nous rappelle que la médecine, même imparfaite, reste notre meilleure alliée. On peut respirer un peu mieux en sachant que, globalement, on a fait le bon choix pour notre santé et celle de nos proches.

Selon la source : iflscience.com

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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