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L’Ozempic cacherait-il un effet protecteur inattendu contre l’épilepsie ?
Crédit: lanature.ca (image IA)

Une surprise médicale venue des traitements anti-diabète

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On entend parler de l’Ozempic un peu partout ces derniers temps, souvent pour la perte de poids, mais voilà qu’une nouvelle étude vient brouiller les pistes… dans le bon sens du terme ! Publiée ce 10 décembre 2025, cette recherche suggère que les médicaments populaires de type GLP-1 pourraient avoir un lien surprenant avec une baisse du risque d’épilepsie chez les diabétiques de type 2. C’est assez inattendu, non ? L’Académie américaine de neurologie rapporte que les patients sous ces traitements semblent moins susceptibles de développer cette maladie neurologique.

Bien sûr, il faut rester prudent et ne pas s’emballer trop vite. Les résultats montrent que les personnes prenant des médicaments comme le sémaglutide avaient environ 16 % de risques en moins de faire de l’épilepsie par rapport à ceux sous d’autres traitements. C’est un signal précoce, certes, mais fascinant. Cela ne prouve pas encore que le médicament *cause* cette protection, mais l’association est là, bien visible dans les chiffres.

Ce que les chiffres nous disent vraiment

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Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs n’ont pas fait les choses à moitié. Ils ont épluché une énorme base de données de santé américaine, suivant plus de 450 000 adultes pendant cinq ans. C’est colossal. Ils ont comparé deux groupes : ceux qui prenaient des agonistes du GLP-1 (comme le Trulicity ou le Victoza) et ceux traités avec des inhibiteurs de la DPP-4. Le constat ? Le sémaglutide semble être le meilleur élève de la classe, montrant la connexion la plus forte avec la réduction du risque.

Le Dr Edy Kornelius, qui a travaillé sur l’étude, souligne que l’épilepsie peut avoir des conséquences lourdes — physiques, sociales, vous voyez le tableau. Trouver un moyen de réduire ce risque serait donc une aubaine. Après avoir ajusté les données pour tenir compte de l’âge ou de l’hypertension (histoire d’être rigoureux), la baisse de risque reste significative. Cependant, petite précision importante : le tirzépatide n’a pas été inclus dans l’analyse car il est arrivé sur le marché après le début de l’étude… dommage, mais c’est comme ça.

Prometteur, mais pas encore définitif

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Alors, que doit-on en penser ? Ces médicaments pourraient bien avoir des bienfaits neurologiques qui dépassent la simple régulation du sucre dans le sang. C’est une hypothèse qui donne de l’espoir. Mais attention, l’étude a ses failles. Elle ne tenait pas compte de l’historique familial ou de la consommation d’alcool, des facteurs qui jouent pourtant un rôle clé. On ne peut donc pas affirmer avec certitude que c’est le médicament miracle pour le cerveau, du moins pas encore.

En attendant des essais cliniques plus poussés pour confirmer tout ça, cela reste une excellente nouvelle potentielle pour les patients diabétiques. Je suppose que la science a encore quelques tours dans son sac concernant ces molécules. Quoi qu’il en soit, ne changez rien à votre ordonnance sans en parler à votre médecin, c’est la base ! Ces résultats sont une pièce du puzzle, pas l’image complète.

Selon la source : scitechdaily.com

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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