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Turbulences à bord d’Air Force One : la remarque inattendue de Donald Trump
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Une traversée agitée

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Hier, le voyage vers la Pennsylvanie ne s’est pas passé exactement comme prévu pour Donald Trump. Alors qu’il s’apprêtait à donner un discours sur la crise du coût de la vie—un sujet brûlant, n’est-ce pas ?—son vol a traversé une zone de turbulences assez secouante le 9 décembre, changeant soudainement l’ambiance à bord.

En pleine discussion avec les journalistes sur la suppression de certaines taxes, il a dû couper court à l’interview car l’avion bougeait trop. C’est là qu’il a lancé une petite phrase, mi-blagueuse mi-inquiétante, qui a fait le tour des réseaux sociaux : « Au revoir tout le monde, j’espère vous revoir ! ». Une façon bien à lui de détendre l’atmosphère, je suppose, alors que tout le monde regagnait son siège en vitesse.

Tensions avec la presse : un orage en chasse un autre

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Mais franchement, il n’y a pas que la météo qui est orageuse ces derniers temps autour du président. Quelques jours seulement avant cet incident aérien, le ton est monté d’un cran avec une journaliste d’ABC News, Rachel Scott, au sujet d’enregistrements militaires concernant des frappes près du Venezuela.

Trump a vivement réagi en niant avoir promis la diffusion de ces vidéos, qualifiant la question de « fake news », même si, curieusement, les transcriptions semblent dire le contraire. C’est le genre de ping-pong verbal auquel on commence à s’habituer, où la mémoire des uns se heurte souvent aux notes des autres.

Noms d’oiseaux et lutte antidrogue

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L’échange a fini par virer à l’attaque personnelle, le président traitant la reporter de personne « odieuse » et « terrible ». Quand il se sent coincé, il faut bien avouer qu’il ne mâche pas ses mots, rappelant d’autres sorties récentes un peu cinglantes où il avait traité des journalistes de « piggy » ou de « laids ».

Au milieu de ce vacarme, il a tout de même tenu à défendre sa politique contre les navires non marqués, affirmant que ces frappes arrêtent 94 % de la drogue arrivant par la mer. Il assure que chaque bateau coulé sauve 25 000 vies américaines ; des chiffres impressionnants, bien qu’on puisse légitimement se demander d’où ils sortent exactement.

Conclusion : Rire nerveux à 10 000 mètres

Finalement, ce vol secoué ressemble un peu à une métaphore parfaite de son actualité politique : ça tangue, ça crie, mais ça continue d’avancer. Entre les secousses physiques d’Air Force One et les joutes verbales incessantes avec les médias, on ne s’ennuie jamais vraiment avec lui.

Heureusement, les journalistes présents ont pris sa petite phrase d’adieu avec humour sur le moment. Cela prouve bien que, malgré les tensions et les noms d’oiseaux qui volent bas, on peut encore partager un rire nerveux quand on se retrouve tous à trembler ensemble à haute altitude.

Selon la source : ibtimes.co.uk

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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