Clascotérone à 5 % : Ce nouveau traitement capillaire qui promet une repousse spectaculaire de plus de 500 % !
Auteur: Adam David
L’urgence de trouver une alternative aux traitements classiques

On ne va pas se mentir, perdre ses cheveux quand on prend de l’âge, c’est une sacrée affaire, et ça touche une quantité incroyable d’hommes. C’est plus qu’une simple question d’apparence, ça peut vraiment miner le moral et la confiance en soi. En plus, bien sûr, il y a tout l’enjeu économique derrière ! La recherche, heureusement, ne s’arrête jamais, même si on a parfois l’impression d’être bloqués.
Aujourd’hui, on utilise classiquement des produits comme la lotion au minoxidil ou le finastéride en cachet. Mais avouons-le, ces produits ne font pas l’unanimité : certains n’y trouvent que peu de bénéfices, d’autres doivent arrêter net à cause des effets secondaires désagréables. C’est là qu’une molécule dont on parle beaucoup, la clascotérone, fait son entrée remarquée. Les toutes dernières publications issues de grandes études cliniques, rédigées le 11/12/2025, pourraient bien marquer un vrai changement, enfin une nouvelle alternative locale qui pourrait aider à freiner cette chute de cheveux si pénible.
Un mode d’action ciblé contre la DHT et des résultats chiffrés stupéfiants

Pendant des années, on a eu l’impression que la prise en charge de l’alopécie androgénétique, le terme médical pour la calvitie hormonale, était bloquée. Mais attention, la science bouge ! Le clascotérone, une molécule que l’on connaissait déjà un peu pour traiter l’acné par voie topique (c’est le fameux Winlevi® dosé à 1 %), se positionne maintenant comme un candidat sérieux pour bloquer la calvitie masculine.
Ce qui est fascinant, c’est sa façon d’agir. Elle ne passe pas par la circulation sanguine comme le Finastéride oral. Non, elle s’attaque directement aux récepteurs des androgènes dans le cuir chevelu. L’idée, c’est de neutraliser les ravages de la dihydrotestostérone (DHT), qui cause la chute, et ce, de manière purement locale, sans chambouler le reste du corps. C’est un gros avantage potentiel, vous ne trouvez pas ?
Cosmo Pharmaceuticals, l’entreprise qui développe cette molécule, a d’ailleurs récemment dévoilé les conclusions de deux énormes essais de phase III. Ces études ont enrôlé près de 1 500 hommes souffrant de calvitie hormonale. Pendant six mois complets, ces messieurs ont appliqué soit cette solution de clascotérone dosée à 5 % localement, soit un simple placebo. Et là, les chiffres communiqués sont… pour le moins surprenants ! Ils annoncent une augmentation du nombre de cheveux sur les zones traitées nettement supérieure à celle du groupe placebo : selon les essais, le gain relatif oscillerait entre +168 % et +539 %.
Attention, il faut bien comprendre que ces pourcentages indiquent l’écart *par rapport* au placebo. Pour connaître l’impact réel en valeur absolue, nous devons encore attendre la publication scientifique formelle et une évaluation précise. Mais le profil de sécurité semble très encourageant : ils rapportent peu d’effets indésirables et aucune alerte sur le plan hormonal général.
Positionnement face aux traitements existants et limites à la commercialisation

Le clascotérone (nom de code Breezula® pour cette indication) mise donc tout sur cette action locale anti-androgène. Cela le positionne de manière très différente : le Finastéride agit de façon systémique via la circulation sanguine, tandis que le Minoxidil stimule plutôt la croissance capillaire et la vascularisation. Cette approche ciblée pourrait franchement séduire ceux qui ont peur des effets secondaires hormonaux ou qui veulent juste éviter les contraintes des applications quotidiennes trop grasses.
Cependant, nous sommes encore dans une phase d’attente. Aucune autorisation officielle pour l’indication anticalvitie n’a été obtenue à ce jour, et le traitement reste expérimental. Bien que l’enthousiasme soit palpable, un point de vigilance demeure : l’ensemble des données que nous avons aujourd’hui provient surtout d’annonces industrielles ou de présentations faites lors de congrès. La publication détaillée, indispensable à toute analyse scientifique rigoureuse, on l’attend toujours.
De plus, il manque encore des études sur plusieurs aspects cruciaux : l’action prolongée sur le long terme, l’efficacité sur d’autres zones du cuir chevelu, le potentiel pour les femmes, ou la combinaison avec d’autres traitements déjà éprouvés. Malgré tout, il est prévu que le dossier complet soit transmis aux autorités sanitaires courantes 2025, après la période de suivi de tolérance à un an.
Prudence et l’importance du diagnostic précoce

Il faut vraiment éviter de se faire des illusions trop vite. Même si le clascotérone est perçu comme l’espoir d’une innovation thérapeutique dans un champ qui en manque cruellement depuis des décennies, son accès n’est pas pour tout de suite. Franchement, si la perte de cheveux vous tracasse, la pire chose à faire serait de reporter la prise en charge en attendant ce produit. Pourquoi ? Parce que seul un dermatologue est capable de poser le bon diagnostic et, surtout, de vous proposer sans tarder un traitement qui a fait ses preuves et qui peut ralentir efficacement la miniaturisation des follicules.
Aujourd’hui, ne l’oublions pas, le Minoxidil et le Finastéride demeurent, en France et ailleurs, les principaux recours validés contre cette satanée alopécie androgénétique. C’est une question de temps avant que le clascotérone n’arrive, peut-être, mais la prudence et l’action rapide restent la clé pour prendre soin de soi.
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.