Fin de l’enquête des crimes majeurs à Drummondville après la découverte d’une femme décédée, le dossier passe au coroner

Une intervention policière majeure suite à une découverte troublante

C’est une nouvelle qui a secoué le quartier, bien sûr. Rappelez-vous, la Sûreté du Québec avait déployé d’importants moyens à Drummondville après la découverte du corps d’une femme. Quelle triste nouvelle. C’est dans une résidence située sur la rue Jogues que la sexagénaire, nous savons maintenant qu’elle était dans la soixantaine, avait été retrouvée sans vie. Le tout s’est passé vers 13 heures, un vendredi.

Devant des circonstances qui semblaient honnêtement un peu nébuleuses au départ, on se le demandait bien, le dossier avait été immédiatement transféré à l’escouade des crimes majeurs de la Sûreté du Québec. C’est la procédure quand on ne comprend pas tout de suite ce qui s’est passé. L’objectif était clair : faire toute la lumière sur les causes exactes et les circonstances entourant ce décès, en travaillant de concert avec le coroner.

Les crimes majeurs quittent Drummondville : Aucune implication d’un tiers suspectée

Après un travail d’enquête que l’on imagine minutieux, l’escouade des crimes majeurs a finalement pu boucler son volet de l’investigation. Et voici le point important : l’enquête est désormais considérée comme complète par la Sûreté du Québec. Selon les informations obtenues au terme de ce travail, les éléments qui semblaient flous au départ ont été totalement clarifiés.

Comment cela a-t-il été possible? Principalement grâce à la version recueillie auprès d’un témoin, mais aussi, et c’est essentiel, ces informations ont été corroborées par toutes les vérifications effectuées par les enquêteurs sur le terrain. À l’issue de cette analyse, l’élément déterminant est le suivant : rien n’indique pour le moment qu’un tiers aurait été impliqué dans le décès.

Comme cela a été précisé au média local Le Vingt55, « aucune piste n’était exclue, incluant celle d’un décès de cause naturelle ». C’est important de le souligner. Mais si les éléments d’enquête ne justifient plus, à ce stade-ci, ni une arrestation ni la poursuite du travail de l’escouade spécialisée, cela signifie que la piste criminelle s’éloigne sérieusement. Par conséquent, les enquêteurs des crimes majeurs ont tout simplement quitté Drummondville, sans dépôt d’accusation.

La responsabilité transférée au coroner Me Yvon Garneau

Maintenant que la portion policière la plus intense est terminée, le dossier suit un cours que l’on pourrait qualifier de normal. La Sûreté du Québec, par l’entremise de son poste de la MRC de Drummond, continue de suivre le dossier, mais la responsabilité de l’enquête finale repose désormais sur une seule personne : le coroner.

Le dossier est entre les mains de Me Yvon Garneau. Son rôle, comme pour tout décès survenu à domicile et dont la cause n’est pas immédiatement évidente, est de mener à terme l’enquête afin de déterminer la cause exacte et définitive du décès, ainsi que les circonstances qui l’entourent. C’est un processus administratif essentiel, mais ça prend du temps.

Pour l’instant, l’information est constante : rien ne permet de croire à un décès de nature criminelle. Aucune accusation n’a été portée dans cette affaire. Le rapport final de Me Garneau viendra sceller les conclusions entourant cette triste situation.

Bilan et perspectives finales

En résumé, l’intervention initiale forte était justifiée par les circonstances nébuleuses de la découverte, mais après vérification et clarification, la piste du crime semble écartée. Ce sont les conclusions actuelles de l’enquête. Nous sommes donc en attente du rapport officiel du coroner, Me Yvon Garneau, qui apportera les précisions finales sur la cause exacte du décès de cette femme dans la soixantaine sur la rue Jogues. C’est toujours un soulagement, je suppose, quand on peut exclure l’implication d’un tiers dans de telles tragédies, même si la tristesse, elle, demeure.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.