La mère du présumé tireur de Bondi Beach prend la parole et donne sa version des faits 

Une communauté brisée et un bilan insoutenable

C’est difficile de trouver les mots justes face à une telle tragédie, n’est-ce pas ? Ce qui devait être une célébration joyeuse de Hanoukka sur la plage emblématique de Bondi Beach s’est transformé en cauchemar absolu. La police a confirmé ce matin que le bilan s’est alourdi de manière tragique : 15 personnes sont décédées.  C’est à vous briser le cœur.

Les autorités n’ont pas hésité à qualifier les faits d’incident terroriste. Au total, ce sont 42 personnes qui ont été blessées lors de cette fusillade horrifiante survenue hier. Ce matin, 15 décembre, les nouvelles ne sont guère rassurantes : on apprend que 27 autres sont toujours hospitalisées, dont six se battent actuellement pour leur vie dans un état critique. C’est tout une communauté, et même tout un pays, qui est très affecté.

L’incompréhension d’une mère face aux actes de « son bon garçon »

Au milieu de cette horreur, il y a cette voix discordante, presque irréelle, celle de la mère de l’un des assaillants présumés. Elle a brisé le silence, et franchement, ses propos rapportés par le Sydney Morning Herald laissent perplexe. Elle décrit son fils, Naveed, un maçon au chômage de 24 ans, comme un « bon garçon ». Selon elle, il était incapable de violence ou d’extrémisme. Elle pensait même qu’il était parti à la pêche ou faire de la plongée avec son père ce week-end-là.

« Il m’appelle [dimanche] et me dit : “Maman, je suis allé nager, j’ai fait de la plongée sous-marine, et maintenant nous allons manger.”

Un acte de bravoure et des tensions politiques

La réalité décrite par la police est pourtant bien différente de celle de cette mère. Les attaques ont été menées par ce duo père-fils : Sajid Akram, 50 ans, propriétaire d’un magasin de fruits, et son fils Naveed. Sajid a été abattu sur place par la police, tandis que Naveed est actuellement dans un état critique à l’hôpital. Mais attendez, ça aurait pu être encore pire… Le commissaire de police de Nouvelle-Galles du Sud, Mal Lanyon, a révélé lors d’une conférence de presse glaçante que deux engins explosifs « actifs » ont été trouvés. Il les a décrits comme étant de construction « assez basique » mais a ajouté : « Je suis très heureux que ces engins n’aient pas été activés ».

Dans cette noirceur, une lueur d’espoir a surgi, un acte de bravoure pure. Ahmed Al Ahmed, un père de deux enfants de 43 ans et lui aussi propriétaire d’un magasin de fruits (quelle ironie du sort…), est devenu un héros national. Une vidéo virale le montre en train de plaquer l’un des tireurs, lui arrachant son arme avant de la poser au sol pendant que l’agresseur s’enfuyait. Un courage incroyable.

De son côté, le Premier ministre australien Anthony Albanese n’a pas mâché ses mots. Il a qualifié l’attaque d’« acte de pur mal », d’« acte d’antisémitisme » et de terrorisme sur un lieu associé à la joie des familles. Il a souligné l’urgence de lois plus strictes sur les armes à feu, d’autant plus qu’il a été rapporté que le père possédait légalement six armes. Ce sujet brûlant a d’ailleurs été discuté lors d’une réunion du Cabinet national plus tôt ce matin, à 16 heures heure locale.

Conclusion : L’hommage royal et l’appel à l’unité

Face à ce drame, même la royauté est intervenue. Le roi Charles, chef d’État du Commonwealth, a publié une déclaration poignante après l’attaque. Il s’est dit, ainsi que sa femme, « horrifié et attristé » par cette attaque terroriste antisémite épouvantable contre des personnes célébrant Hanoukka.

Ses mots résonnent particulièrement fort aujourd’hui : « Nos cœurs vont à tous ceux qui ont été si terriblement touchés… Nous félicitons la police, les services d’urgence et les membres du public dont les actions héroïques ont sans doute empêché une horreur et une tragédie encore plus grandes ». Il a conclu en rappelant que la lumière au cœur du festival de Hanoukka triomphera toujours des ténèbres de ce mal. Espérons qu’il ait raison, car l’Australie en a bien besoin.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.