980 soldats russes neutralisés en 24 heures : un coup dur majeur pour l’armée de Poutine
Auteur: Simon Kabbaj
Une nouvelle journée difficile sur le front

Nous sommes le lundi 15 décembre 2025. C’est le genre de matin où l’on prend son café en regardant les nouvelles, les chiffres continuent d’être… comment dire… assez effrayants. Liliana Oleniak rapporte, d’après les dernières données de l’État-major, que les combats ne faiblissent pas, bien au contraire.
Entre hier et aujourd’hui, donc du 14 au 15 décembre, l’armée russe a encore perdu un nombre considérable d’hommes. On parle de 980 soldats supplémentaires qui ne rentreront pas chez eux. C’est énorme quand on y pense, presque un millier de vies en 24 heures. Et ce n’est pas tout, loin de là. Les forces ukrainiennes ont aussi détruit une quantité impressionnante de matériel, dont 64 systèmes d’artillerie et plus de 600 drones. Ça donne une idée de l’intensité des échanges de tirs.
Le vertige des chiffres : un bilan matériel et humain colossal

Il faut parfois prendre un peu de recul pour réaliser l’ampleur de ce conflit qui dure depuis le 24 février 2022. Les statistiques globales mises à jour ce matin sont tout simplement stupéfiantes. Si l’on regarde le total des pertes russes jusqu’à ce 15 décembre 2025, on arrive à environ 1 189 470 hommes (en incluant les 980 de la veille). Plus d’un million… c’est difficile à imaginer.
Pour ce qui est de la ferraille, comme on dit parfois, les pertes sont tout aussi lourdes. Tenez, regardez un peu ça : les chars détruits se montent à 11 412 unités, avec deux de plus perdus rien qu’hier. Pour les véhicules blindés de transport de troupes, on en est à 23 731, dont 10 détruits ces dernières 24 heures. Et l’artillerie ? C’est peut-être le chiffre le plus fou : 35 105 systèmes hors service au total, grâce aux 64 éliminés hier.
La liste ne s’arrête pas là, malheureusement ou heureusement, selon le camp où l’on se place. Voici le reste du bilan mis à jour :
- MLRS (lance-roquettes multiples) : 1 570 (+3 hier).
- Systèmes de défense antiaérienne : 1 261 (+2 hier).
- Avions : 432 (pas de changement hier, semble-t-il).
- Hélicoptères : 347.
- Drones opérationnels-tactiques : le chiffre est hallucinant, 90 777 au total, avec un bond de +653 rien qu’hier !
- Missiles de croisière : 4 073 interceptés ou détruits.
- Navires et bateaux : 28.
- Sous-marins : 1.
- Véhicules et réservoirs de carburant : 70 005, dont 207 détruits hier (ça fait beaucoup de logistique en moins).
- Équipement spécial : 4 026 unités.
Sur le terrain et dans le ciel : une nuit agitée

Ce n’est pas seulement une guerre de chiffres, c’est avant tout une réalité brutale sur le terrain. L’État-major ukrainien signalait qu’à 22 heures, le 14 décembre, il y avait eu pas moins de 148 affrontements directs. Vous imaginez la tension ? De leur côté, les Russes n’ont pas retenu leurs coups. Ils ont mené 42 frappes aériennes et largué, tenez-vous bien, 103 bombes guidées. C’est sans compter les bombardements classiques sur les positions ukrainiennes et les zones habitées, dénombrés à 3 703 reprises, et le lancement de 4 003 drones kamikazes. Oui, quatre mille… ça parait démentiel.
Mais l’Ukraine ne reste pas les bras croisés à subir. Oh que non. Dans la nuit du 14 décembre, la Défense ukrainienne a frappé fort, ciblant la raffinerie de pétrole d’Afipsky et un dépôt pétrolier à Uryupinsk. Ils ont aussi visé plusieurs cibles russes dans les territoires temporairement occupés. C’est une stratégie claire : couper le carburant et la logistique.
D’ailleurs, ce n’était pas la première fois cette semaine. Si ma mémoire est bonne… oui, c’est ça, le 12 décembre, ils avaient déjà frappé la raffinerie Slavneft-YANOS dans la région de Yaroslavl, en Russie. Des frappes ont aussi touché un dépôt de munitions et des zones de concentration de troupes d’occupation dans la région de Donetsk. Ça chauffe de tous les côtés, c’est indéniable.
Conclusion : L’usure du temps
Voilà où nous en sommes en ce milieu de mois de décembre. Entre les milliers de drones qui saturent le ciel et les duels d’artillerie qui ne cessent jamais vraiment, la situation reste extrêmement tendue. Chaque jour apporte son lot de destruction, et ces rapports matinaux sont là pour nous rappeler que loin de nos quotidiens tranquilles, l’histoire continue de s’écrire dans la douleur et le fracas des armes.
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.