Négociations de paix : conversation cruciale entre Mark Carney et Volodymyr Zelensky avant la rencontre Trump

Un appel à Ottawa avant le grand départ

On apprend qu’à Ottawa, ce vendredi, le premier ministre Mark Carney s’est entretenu par téléphone avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. C’était une conversation vraiment cruciale, parce que le dirigeant ukrainien est sur le point de s’envoler vers les États-Unis pour une réunion qui pourrait bien déterminer l’avenir des négociations visant à mettre fin à cette guerre terrible avec la Russie.

Cet échange intervient juste avant un déplacement stratégique. M. Zelensky doit en effet se rendre en Floride en fin de semaine pour une rencontre très attendue avec le président américain Donald Trump. Tout le monde retient son souffle, puisque c’est peut-être là que le dénouement va se jouer.

L’accord est-il « prêt à 90 % » ?

L’enjeu de cette visite en Floride concerne un accord potentiel que M. Zelensky lui-même a qualifié de particulièrement avancé. Il a dit que cet accord était « prêt à environ 90 % ». C’est un chiffre encourageant, vous ne trouvez pas ? Cependant, on sait bien que les derniers pourcentages sont souvent les plus difficiles à finaliser dans ce genre de tractations.

Il faut dire qu’un plan assez détaillé est sur la table. On parle d’un document structuré en 20 points qui est en pleine discussion. Les États-Unis s’efforcent vraiment de jouer les médiateurs pour stopper ce conflit brutal qui a commencé, rappelons-le, avec l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie au début de l’année 2022. L’objectif est clair : trouver une porte de sortie honorable pour Kyiv.

Les points de friction : Territoires et garanties de sécurité

Mais attention, même si 90 % du travail semble fait, le diable est dans les détails. M. Zelensky a bien précisé que les questions les plus épineuses, celles qui coincent vraiment la machine diplomatique, concernent d’abord les territoires revendiqués par la Russie. C’est un sujet délicat, ça, qui touche à la souveraineté même du pays. L’autre point fondamental, c’est l’obtention de garanties de sécurité solides que l’Ukraine s’efforce d’intégrer fermement dans le cadre de l’accord final. Ils veulent s’assurer que l’histoire ne se répétera pas, ce qui est tout à fait compréhensible.

Le communiqué du bureau de M. Carney, publié après l’appel, a confirmé que les deux dirigeants ont bien discuté des dernières négociations pour mettre fin à la guerre. Le premier ministre a réaffirmé, sans détour, « l’engagement du Canada à l’égard de l’Ukraine tout au long de ces négociations ».

Ce qui est important, c’est qu’il a aussi souligné la nécessité de « maintenir la pression sur la Russie pour qu’elle négocie » avec sérieux. Il faut vraiment continuer à serrer la vis, je suppose, pour garantir une issue juste.

Réponse de Zelensky : une conversation « très fructueuse »

Visiblement, l’appel avec le premier ministre canadien a été très positif pour le côté ukrainien. M. Zelensky a lui-même qualifié cette conversation de « très fructueuse ». C’est un bon signe de coordination entre alliés.

Il a ensuite pris le temps d’exprimer sa gratitude sur X (c’est le nouveau nom de Twitter, pour ceux qui n’arrivent pas à s’y faire !). Il a spécifiquement apprécié la « reconnaissance claire par le Canada de la nécessité d’efforts conjoints pour garantir la sécurité et un véritable rétablissement ». Ce genre de soutien moral et politique est absolument essentiel avant d’entamer une rencontre de l’ampleur de celle avec le président Trump. Tous les regards sont désormais tournés vers la Floride, en espérant que ce fameux « 90 % » devienne rapidement 100 %.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.