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Nouvelles frappes russes sur Kyiv : l’OTAN réagit tandis que les pourparlers cruciaux entre Zelenskyy et Trump se préparent
Crédit: Duma.gov.ru, CC BY 4.0, via Wikimedia Commons

Montée des tensions : l’horreur des frappes du 27 décembre et l’inquiétude mondiale

credit : lanature.ca (image IA)

Franchement, les nouvelles qui nous arrivent d’Ukraine continuent d’être profondément troublantes. Après une attaque majeure qui avait déjà secoué le pays le jour de Noël (le « Boxing Day » si vous préférez), les forces de Vladimir Poutine ont lancé, aux premières heures de ce matin du 27 décembre, une nouvelle salve d’attaques terrifiantes. C’est vraiment le genre d’événement qui intensifie ces fameuses craintes de « Troisième Guerre Mondiale », n’est-ce pas?

Ce matin, des avions de chasse de l’OTAN ont été de nouveau déployés, signe que la situation est loin d’être contenue. L’attaque la plus récente sur Kyiv, menée par des missiles et des drones, est survenue juste un jour avant des discussions capitales entre l’Ukraine et les États-Unis. On parle d’un bilan initial de onze personnes blessées.

Pourtant, le Président Volodymyr Zelenskyy avait soutenu l’idée d’une trêve de Noël, suggérant spécifiquement que les infrastructures énergétiques soient épargnées. Mais visiblement, la Russie a rejeté ces propositions, car Poutine ne voulait absolument pas accorder d’« espace de répit » à l’Ukraine. C’est un cynisme assez difficile à encaisser.

Le bilan humain et les dégâts matériels dans la capitale ukrainienne

credit : lanature.ca (image IA)

Cette dernière vague d’attaques a vu des explosions résonner durant des heures à travers Kyiv. Les missiles balistiques et les drones ont frappé la capitale, touchant, selon les responsables locaux, pas moins de sept zones différentes. C’est une destruction massive et c’est ça qui fait peur, l’ampleur des dégâts collatéraux.

Le pire, c’est bien sûr le coût humain. Parmi les personnes blessées, on compte malheureusement deux enfants. Les frappes ont été particulièrement dévastatrices dans les zones résidentielles et industrielles de la grande région de Kyiv.

Les rapports des autorités locales et des Services d’urgence ukrainiens ont détaillé les dommages spécifiques :

  • Un incendie s’est déclaré dans un immeuble résidentiel de 18 étages situé dans le district de Dnipro.
  • Un autre immeuble résidentiel de 24 étages a été touché dans le district de Darnytsia.
  • D’autres foyers d’incendie ont éclaté dans les districts d’Obolonskyi et de Holosiivsky.

On comprend bien pourquoi les efforts de l’Amérique pour mettre fin à cette guerre, qui dure depuis près de quatre ans maintenant, se heurtent aux demandes totalement opposées de Moscou et de Kyiv.

Diplomatie sous pression : le sommet Zelenskyy-Trump et le plan de paix à 90%

credit : lanature.ca (image IA)

Ironiquement, ou peut-être pas, cette attaque russe est survenue quelques heures seulement avant l’événement diplomatique majeur de demain : la rencontre entre le Président Zelenskyy et Donald Trump en Floride. Ces pourparlers sont présentés comme un effort supplémentaire pour débloquer la fin de ce conflit qui s’éternise. Le côté ukrainien a déjà mis les cartes sur table.

Zelenskyy a en effet confié aux journalistes que le plan en 20 points, actuellement en discussion, est « prêt à environ 90 % ». C’est une avancée significative, mais il a aussi précisé qu’un « accord économique » serait discuté, sans pouvoir confirmer si quoi que ce soit serait « finalisé d’ici la fin » des discussions.

Un point crucial que la partie ukrainienne entend soulever, ce sont les « questions territoriales », évidemment le nœud du problème. Mais ce qui me frappe, c’est le souhait exprimé par Zelenskyy d’impliquer les Européens. Il a même déclaré : « Nous devons, sans aucun doute, trouver un format dans un futur proche dans lequel non seulement l’Ukraine et les États-Unis sont présents, mais l’Europe est également représentée. » Il doutait cependant que cela puisse être possible avec un délai aussi court.

La réponse militaire immédiate : l’activation des forces aériennes polonaises

credit : lanature.ca (image IA)

Les conséquences de ces frappes ne s’arrêtent pas aux frontières ukrainiennes, ce qui nourrit d’ailleurs ces peurs d’escalade. L’une des preuves les plus claires est venue de la Pologne, pays membre de l’OTAN.

Les Forces armées polonaises ont confirmé que leurs avions de chasse avaient « commencé leurs opérations » après que les frappes russes aient déclenché l’activation de l’aviation militaire dans l’espace aérien voisin. C’est un protocole de sécurité strict, on le voit bien.

Le Commandement opérationnel polonais a d’ailleurs tenu à préciser la nature de cette réaction : « Ces opérations sont de nature préventive et visent à sécuriser et à protéger l’espace aérien, en particulier dans les zones adjacentes aux zones menacées. » C’est une mesure nécessaire, je suppose, quand les bombardements ont lieu si près de chez vous. Cette succession d’attaques nous rappelle avec force que, malgré les tentatives de paix, la guerre est bien présente et la menace sur la stabilité régionale, palpable.

Selon la source : ladbible.com

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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