Elon Musk révèle le montant incroyable qu’il paie à l’influenceuse Ashley St Clair après avoir été accusé d’avoir eu un enfant avec elle

Tout commence il y a deux mois, lorsque Ashley St Clair annonce avoir donné naissance à l’enfant d’Elon Musk, le célèbre patron de Tesla et SpaceX. Selon elle, il s’agirait du treizième enfant de l’homme d’affaires. Cette révélation survient sans avertissement, dans un contexte tendu, et plonge immédiatement l’affaire dans la sphère publique. St Clair ne mâche pas ses mots, qualifiant Musk de “grand enfant capricieux” et affirmant que le silence et le contrôle sont ses armes préférées contre les femmes qui osent s’exprimer.

Alors que les accusations prennent de l’ampleur, les échanges entre les deux protagonistes se poursuivent sur X (anciennement Twitter), propriété de Musk lui-même. St Clair publie une vidéo où elle répond aux journalistes tout en vendant une Tesla estimée à 100 000 dollars, un cadeau présumé d’Elon Musk. Elle explique :
“Je dois compenser la coupe de 60 % que Musk a appliquée à la pension alimentaire de notre fils.”
Des propos qui laissent entendre une relation conflictuelle et une tentative de contrôle par les finances.

Le 21 février, Ashley St Clair dépose deux requêtes auprès de la Cour suprême de l’État de New York. La première concerne la garde légale exclusive de son enfant de cinq mois, identifié par les initiales “RSC”. La seconde exige qu’Elon Musk passe un test de paternité. Jusqu’à présent, Musk n’a jamais confirmé ou infirmé formellement être le père de l’enfant, mais a tout de même déclaré publiquement :
“Je ne sais pas si l’enfant est de moi ou non, mais je ne suis pas opposé à le découvrir.”
Une déclaration floue, qui entretient le doute tout en laissant place à la spéculation.

Dans une réponse directe à Musk, St Clair l’accuse d’avoir refusé de faire un test de paternité avant même la naissance de l’enfant, malgré ses demandes répétées. Elle ajoute que les fonds qu’elle recevait n’étaient pas pour elle, mais bien pour soutenir leur fils, que Musk aurait lui-même nommé.
Elle dénonce également un comportement de contrôle :
“Tu ne fais que punir ton fils, pas moi.”
Et d’ajouter : “Ton dernier recours en justice a été de tenter de me faire taire, pendant que tu diffames publiquement notre enfant sur un réseau que tu possèdes.”

Dans les documents de justice rendus publics, St Clair affirme qu’Elon Musk aurait tenu des propos troublants, déclarant vouloir “la mettre enceinte de nouveau”. Des échanges qui soulignent un rapport de force déséquilibré, mêlant pouvoir, argent et tentatives de domination. Pour beaucoup, la relation entre les deux semble marquée par l’abus de pouvoir et l’intimidation, ce qui rend l’affaire d’autant plus délicate à juger. Pourtant, malgré le flou sur la paternité, Musk n’a pas hésité à ouvrir son portefeuille.

Dans un message publié sur sa propre plateforme, **Elon Musk a finalement admis avoir versé à Ashley St Clair la somme impressionnante de 2,5 millions de dollars, accompagnée d’un “salaire” annuel de 500 000 dollars.
Il écrit :
“Malgré l’incertitude sur ma paternité, j’ai donné à Ashley 2,5 millions de dollars et je lui envoie 500 000 dollars par an.”
Un geste qui pourrait être vu comme un aveu déguisé, ou une manière d’éviter une confrontation plus dommageable devant les tribunaux. Le fait qu’il accepte de payer sans avoir la certitude d’être le père soulève de nombreuses interrogations.

L’affaire entre Elon Musk et Ashley St Clair est loin d’être terminée. Entre révélations publiques, joutes verbales sur les réseaux sociaux, accusations de contrôle et procédures juridiques en cours, le milliardaire et l’influenceuse continuent de s’affronter dans un climat tendu. Le montant révélé, d’une ampleur vertigineuse, montre à quel point l’image publique et les intérêts personnels de Musk sont liés. Mais une question demeure : s’il n’est pas certain d’être le père, pourquoi verser autant ? Un mystère que seule la suite des procédures pourra peut-être éclaircir.