Un homme affirme avoir la preuve que la mort n’est pas la fin… et dévoile les 7 plans de l’existence après la mort
Auteur: Simon Kabbaj
Et si la mort n’était que le début d’un long voyage de l’âme ? C’est ce que croit fermement Chris Carter, auteur du livre The Case for the Afterlife “L’Argument pour l’Au-delà”. Dans cet ouvrage, il s’appuie sur les révélations posthumes du poète britannique Frederic Myers, fondateur de la Society for Psychical Research, décédé en 1901. D’après Carter, Myers aurait communiqué depuis l’au-delà avec des médiums, décrivant un parcours en sept niveaux distincts que l’âme traverserait après la mort. Voici, un à un, les plans de l’existence après la vie terrestre, tels que retranscrits par Chris Carter.
1. Le premier plan : la Terre, point de départ de l’âme

Le voyage débute ici, sur Terre, que Myers considère comme le premier niveau de l’existence de l’âme. C’est dans notre monde physique que l’âme fait ses premières expériences, développe sa conscience et construit les bases de sa progression spirituelle. Chaque action, pensée ou intention aurait un impact sur la suite du parcours. La vie terrestre, bien qu’éphémère, serait donc d’une importance cruciale dans le grand schéma de l’évolution de l’âme.
2. Le second plan : Hades, l’état intermédiaire

Après la mort physique, l’âme passerait au second plan, que Myers nomme Hades. Il s’agit d’un plan astral, une sorte de zone tampon entre deux mondes. Ce lieu de repos temporaire est décrit comme calme, doux et enveloppé d’une lumière tamisée. La durée du séjour dépendrait de l’état de fatigue ou de maturité de l’âme. Les enfants, par exemple, n’y passeraient presque aucun temps. C’est là que Myers dit s’être retrouvé après sa mort, en Italie, un lieu qu’il aimait profondément.
3. Le troisième plan : le monde de l’imagination terrienne

Sur ce plan, l’âme retrouve une réalité qui ressemble à la Terre, mais en bien plus beau. Appelé le monde de l’imagination terrienne, ce niveau est façonné par les désirs, les souvenirs et le développement moral de chacun. Les âmes se regroupent en communautés selon leurs affinités, et les plus solitaires peuvent même créer leur propre environnement. Toutefois, les âmes ayant mené une vie égoïste ou mauvaise sur Terre y errent dans des zones sombres, tristes et isolées. Leur séjour dépendrait de leur volonté à évoluer moralement.
4. Le quatrième plan : Eido, la première vraie “terre céleste”

Eido est décrit comme la première sphère véritablement céleste. C’est un monde où les couleurs, les formes et les sensations dépassent tout ce que nous connaissons sur Terre. Myers affirme que c’est là qu’il a poursuivi son chemin, trouvant une paix et une beauté inégalées. Ce niveau est accessible aux âmes qui ont atteint un certain degré de pureté et de conscience, et marque un véritable tournant dans le parcours spirituel.
5. Le cinquième plan : le plan de la Flamme

Ici, l’expérience devient beaucoup plus abstraite. Le cinquième plan, nommé le plan de la Flamme, est plus éloigné de nos perceptions humaines. Il est difficilement descriptible, même pour ceux qui y ont accédé, mais il représenterait un niveau profondément désirable, lié à la transformation spirituelle intense. Ce n’est ni un enfer ni un lieu de souffrance, mais plutôt un état de purification mentale.
6. Le sixième plan : le plan de Lumière

À ce stade, le corps n’a plus d’existence physique. L’âme se manifeste sous forme de lumière blanche pure, et devient pensée unie au Créateur. C’est sur ce plan que l’âme rejoint les “immortels”, selon les termes de Myers. On dit que seules les âmes très évoluées peuvent atteindre ce niveau, et que Carter a reconstitué ces informations grâce aux récits transmis par des médiums ayant communiqué avec des entités très avancées.
7. Le septième plan : au-delà, la fuite de l’univers physique

Enfin, le dernier niveau est appelé Out-Yonder, littéralement “au-delà”. Ce n’est ni le paradis ni l’enfer tels que décrits par les religions. Dieu n’y apparaît pas directement, car l’âme humaine est encore trop “primitive” pour Le percevoir pleinement. C’est le début d’un rapprochement vers le divin, un chemin qui ne fait que commencer. Ce plan serait le seuil vers l’union avec le Créateur, un espace hors du temps, de la matière et des limites humaines.
Conclusion – Une traversée au-delà de l’imaginable

D’après Chris Carter, les messages transmis par Frederic Myers depuis l’au-delà constituent une preuve que la conscience ne s’éteint pas après la mort. Ces sept plans de l’existence offriraient à chaque âme un chemin évolutif, façonné par ses choix, son amour, sa moralité et son désir de progresser. Que l’on y croie ou non, ce récit soulève une question essentielle :
Et si la mort n’était qu’un commencement… vers quelque chose de plus grand, de plus lumineux, et de plus conscient ?