Le sang des personnes exceptionnellement longévives révèle des différences clés
Auteur: Mathieu Gagnon
Une étude suédoise pas comme les autres
Les 12 marqueurs sanguins passés au crible
- Le métabolisme : le cholestérol total et le glucose (le sucre dans le sang).
- L’inflammation : l’acide urique, un déchet produit par notre corps.
- La fonction du foie : avec des noms un peu techniques comme ALAT, ASAT, GGT… ce sont des enzymes qui montrent si le foie travaille bien.
- La fonction des reins : surtout la créatinine.
- La nutrition et l’anémie : le fer et l’albumine, une protéine importante.
Tous ces éléments avaient déjà été liés au vieillissement ou à la longévité dans le passé, mais jamais avec une vue d’ensemble aussi large.
Premiers résultats : des différences visibles des décennies avant
Quels facteurs semblent vraiment faire pencher la balance ?
Pour vous donner une idée concrète : dans le groupe avec l’acide urique le plus bas, 4% des gens ont atteint 100 ans. Dans le groupe avec le niveau le plus élevé, seulement 1,5% y sont parvenus. La différence est petite, mais elle est bien réelle.
Conclusion : alors, quel est le secret pour vivre plus longtemps ?
Et puis, il faut bien l’admettre, il y a sûrement une part de chance là-dedans. Mais le fait que ces différences soient visibles si longtemps à l’avance montre bien que notre hygiène de vie et nos gènes pèsent lourd dans la balance.
Selon la source : sciencealert.com