Le salaire mensuel impressionnant d’une star d’American Pie dévoilé en plein divorce

C’est le magazine US Weekly qui a mis la main sur les documents judiciaires. Et ce qu’on y découvre est assez fou. Chaque mois, Seann William Scott gagnerait en moyenne l’équivalent de deux salaires annuels pour une personne normale. Son revenu mensuel s’élèverait à environ 110 000 dollars. Et ce n’est que le début.

Alors, comment gagne-t-il autant, des années après ses plus grands succès ? Principalement grâce aux droits d’auteur et aux rediffusions de ses films. Chaque mois, il toucherait 45 000 dollars de royalties. À cela s’ajoutent 31 000 dollars de dividendes et d’intérêts de ses placements. Une machine à cash qui continue de tourner, même quand il ne travaille pas.

Mais son salaire mensuel n’est que la partie visible de l’iceberg. L’acteur a su faire fructifier son argent. Il aurait plus de 12 millions de dollars en actions, et un portefeuille immobilier évalué à près de 19 millions de dollars. Ajoutez à cela des voitures (une Mini Cooper, un Honda Passport), des meubles d’une valeur de 171 000 dollars, et même 93 000 dollars d’œuvres d’art. Une fortune colossale, bien loin de l’image de l’ado fauché qu’il incarnait à l’écran.

Mais cette fortune est aujourd’hui au cœur d’une bataille juridique tendue. Le divorce avec sa femme, avec qui il a été marié quatre ans et a eu une fille, Frankie Rose, est loin d’être amical. Les documents révèlent que Seann William Scott a déjà dépensé 500 000 dollars en frais d’avocat. Son ex-femme l’a même accusé d’avoir tenté de l’« expulser » de l’une de ses maisons. La bataille se concentre maintenant sur qui doit payer les frais d’avocat de l’autre.

Cette richesse actuelle contraste de manière saisissante avec le salaire qu’il a touché pour le rôle qui l’a rendu célèbre. Pour le premier American Pie, en 1999, il n’a été payé que 8 000 dollars ! Une somme dérisoire. Il a raconté qu’avec cet argent, il s’était acheté une voiture d’occasion à 5 000 dollars. « Je ne sais pas ce qui est arrivé aux deux mille autres », a-t-il plaisanté. À l’époque, pour joindre les deux bouts, il devait même travailler comme vendeur de churros dans un zoo de Los Angeles.

Selon la source : usmagazine.com