Trump horrifié après une panne d’escalator à l’ONU, il exige l’arrestation des coupables
Auteur: Simon Kabbaj
C’est une histoire qui pourrait prêter à sourire si elle ne révélait pas une certaine tendance à la paranoïa. De retour d’une réunion aux Nations Unies, le président Donald Trump a piqué une colère noire. La raison ? Une série de petits pépins techniques, dont une panne d’escalator, qu’il a immédiatement interprétés comme un acte de ‘sabotage’ délibéré. Sa réaction a été si disproportionnée qu’il a exigé l’arrestation des responsables et le lancement d’une enquête par les services secrets. Une nouvelle sortie dont il a le secret.
La série de 'catastrophes' à l'ONU
La semaine a été difficile pour le président à l’ONU. Trois petits incidents sont venus perturber sa visite :
- Alors qu’il montait un escalator avec sa femme Melania, celui-ci s’est soudainement arrêté, les obligeant à finir la montée à pied.
- Pendant son grand discours à l’Assemblée Générale, son prompteur a eu des ratés.
- Et il a affirmé plus tard qu’on lui avait dit que le son était coupé dans la salle, et que personne n’avait rien entendu.
Une accumulation de problèmes qui, pour lui, ne peut pas être une simple coïncidence.
La théorie du complot : une blague de journalistes prise au sérieux
D’où vient cette idée de complot ? De la presse elle-même. La porte-parole de la Maison Blanche a pointé du doigt un article du journal britannique *The Times* qui racontait que des employés de l’ONU avaient ‘plaisanté sur le fait d’éteindre un escalator’ pour embêter Trump, en référence à ses coupes budgétaires drastiques envers l’organisation. Une simple blague de couloir que l’administration Trump a prise comme la preuve d’un sabotage planifié.
La réponse (très terre-à-terre) de l'ONU
Face à ces accusations, le porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU, Stéphane Dujarric, a donné des explications beaucoup plus simples. Pour l’escalator, il a expliqué que quelqu’un devant Trump avait accidentellement déclenché un mécanisme de sécurité, ce qui a provoqué l’arrêt. Et pour le prompteur, il a simplement répondu : ‘Nous n’avons aucun commentaire, car le prompteur du président américain est opéré par la Maison Blanche‘. En d’autres termes, si le prompteur est tombé en panne, c’est de leur faute.
La colère de Trump sur Truth Social : 'C'est du triple sabotage !'
Mais ces explications n’ont pas du tout calmé le président. Dans une longue publication furieuse sur son réseau social, Truth Social, il a crié au complot. ‘C’était un sabotage absolu’, a-t-il écrit. ‘Les personnes qui ont fait ça devraient être arrêtées !’. Il a conclu en insistant sur le fait que les services secrets étaient sur le coup. ‘Ce n’était pas une coïncidence, c’était un triple sabotage à l’ONU. Ils devraient avoir honte d’eux-mêmes. J’envoie une copie de cette lettre au Secrétaire Général, et j’exige une enquête immédiate’.
La réaction des internautes : 'L'homme le plus fragile du monde'
Sur les réseaux sociaux, cette colère disproportionnée a provoqué une vague de moqueries. !!! Cet imbécile se prend pour un roi. Bientôt, il va demander l’installation d’une guillotine sur la pelouse de la Maison Blanche’, a ironisé un utilisateur de Twitter. Un autre a ajouté : ‘Trump est si vaniteux et susceptible qu’il a besoin que des gens soient arrêtés quand son escalator ne marche pas. Il se comporte comme un méga bébé’. Beaucoup ont résumé la situation en une phrase : ‘L’homme le plus fragile du monde’.
Conclusion : quand un escalator devient une affaire d'État
Selon la source : independent.co.uk