La question qui agite nos estomacs

Un invité surprise dans les aliments industriels

Pourquoi une telle omniprésence ? L’industrie agroalimentaire l’utilise comme un véritable couteau suisse : il donne du moelleux, de l’élasticité et sert de liant. Résultat, nous en consommons des quantités bien plus importantes qu’autrefois, souvent sans même le savoir.
Sensibilité et maladie cœliaque : ne pas tout mélanger

« Les personnes sensibles ne présentent pas de lésions intestinales, mais ressentent une myriade de symptômes après avoir consommé du gluten », explique la diététicienne. Troubles digestifs, bien sûr, mais aussi brouillard mental, fatigue ou migraines. Des maux réels, qui ne doivent pas être pris à la légère.
Le blé moderne, vraiment différent de celui de nos grands-parents ?

Ajoutez à cela un raffinage intense et des processus de panification accélérés, et vous obtenez un produit final bien plus difficile à digérer pour notre organisme. Le problème n’est donc pas le gluten en soi, mais peut-être ce que nous en avons fait.
Alors, que faire si l’on se sent concerné ?

L’idée n’est pas de diaboliser un aliment, mais de comprendre ce qui se passe dans son propre corps. Vous êtes la personne la mieux placée pour savoir si quelque chose cloche.
Conclusion : écouter son corps avant les tendances

La clé, selon Léa Zubiria ? Varier son alimentation, privilégier les aliments bruts et peu transformés, et surtout, apprendre à écouter les signaux que nous envoie notre corps. C’est encore lui, notre meilleur guide.