Ce biohacker qui « veut vivre éternellement » a éliminé 85% des plastiques de son corps avec cette simple habitude

Introduction : la nouvelle croisade du biohacker qui veut vivre éternellement

Il est connu pour ses expériences extrêmes et ses dépenses folles pour tenter d’inverser son âge biologique. Le millionnaire de la tech, Bryan Johnson, surnommé le ‘biohacker’, vient de révéler avoir franchi une nouvelle étape dans sa quête de la vie éternelle. Il affirme avoir réussi à réduire massivement la quantité de microplastiques dans son corps. Et contrairement à ses habitudes, sa méthode principale est d’une simplicité déconcertante et accessible à presque tout le monde.

Le fléau invisible : pourquoi les microplastiques sont-ils si dangereux ?

Avant de parler de sa méthode, il faut comprendre l’ennemi. Les microplastiques sont de minuscules particules, plus petites qu’un grain de sable, qui proviennent de la dégradation de nos déchets plastiques. Ils sont partout : dans l’eau que nous buvons, la nourriture que nous mangeons, l’air que nous respirons… Ils finissent par s’infiltrer dans notre corps et s’accumuler dans nos organes vitaux. Les scientifiques s’inquiètent de plus en plus de leurs effets : inflammation, infertilité, et autres problèmes de santé. Bryan Johnson cite d’ailleurs des études récentes qui en ont détecté dans tous les échantillons de testicules et de sperme humains testés.

Des résultats spectaculaires : 85% de microplastiques en moins

C’est sur son compte X (anciennement Twitter) que le biohacker a partagé ses résultats, graphiques à l’appui. Et ils sont pour le moins spectaculaires. ‘J’ai éliminé 85% des microplastiques de mon éjaculat‘, a-t-il annoncé. Les chiffres sont précis : il serait passé de 165 particules par millilitre en novembre 2024 à seulement 20 particules/ml en juillet 2025. Il a également constaté une baisse drastique dans son sang, passant de 70 particules/ml en octobre 2024 à 10 particules/ml en mai 2025. Il souligne l’importance de ces résultats en citant une méta-analyse de 36 études qui lie les microplastiques à l’inflammation testiculaire, à la mort cellulaire et à la réduction des niveaux de testostérone.

Le secret de sa détox : une habitude simple et quotidienne

Alors, quelle est sa méthode miracle ? Oubliez les technologies hors de prix et les protocoles compliqués. Le principal secret de Bryan Johnson est d’une simplicité étonnante. Il a affirmé qu’une séance de sauna de 20 minutes chaque jour l’a aidé à ‘simplement transpirer les microplastiques hors de son corps’. La sudation est en effet une des voies naturelles d’élimination des toxines par l’organisme. Une méthode simple, ancestrale, qui semble avoir porté ses fruits dans son cas.

Les autres changements clés : la guerre au plastique dans la cuisine

Le sauna n’est pas son seul secret. Bryan Johnson a également opéré des changements simples mais radicaux dans sa cuisine pour limiter son exposition. Il a banni tous les récipients en plastique pour micro-ondes et les planches à découper en plastique, qui sont connus pour libérer des particules, surtout lorsqu’ils sont chauffés ou usés. Il a remplacé ces objets par des alternatives en verre, en bois ou en d’autres matériaux naturels.

L’importance de l’eau : la filtration par osmose inverse

Le dernier pilier de sa stratégie anti-plastique concerne l’eau qu’il boit. Johnson a révélé qu’il utilisait un système de filtration d’eau par osmose inverse. C’est un appareil, qui coûte tout de même environ 600 dollars, mais qui est de plus en plus courant. Il utilise une pompe à haute pression pour forcer l’eau à traverser une membrane aux pores extrêmement fins. Ce processus permet de piéger les contaminants les plus infimes, y compris les microplastiques, pour obtenir une eau la plus pure possible.

Conclusion : une méthode simple à la portée de tous ?

L’histoire de Bryan Johnson est fascinante. Alors qu’il est connu pour dépenser des millions dans des thérapies futuristes, sa solution contre les microplastiques repose sur des gestes de bon sens : transpirer, éviter le plastique dans sa cuisine et filtrer son eau. Bien sûr, il s’agit de son expérience personnelle et non d’une étude scientifique rigoureuse. Mais son témoignage a le mérite de nous rappeler que nous pouvons tous, à notre échelle, poser des gestes simples pour réduire notre exposition à ce fléau invisible qui menace notre santé.