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Ce qu’il croyait être un simple rhume cachait une sangsue vivante dans son nez
Crédit: lanature.ca (image IA)

Un rhume qui n’en finissait pas

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Un nez qui coule, quelques éternuements, un peu de fatigue… Qui ne connaît pas les symptômes banals d’un rhume ? Pourtant, derrière ces signes familiers peut parfois se cacher une réalité bien plus surprenante. En Chine, l’histoire d’un homme de 38 ans vient nous le rappeler de manière pour le moins spectaculaire.

Des saignements de nez qui intriguent les médecins

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Depuis plusieurs semaines, ce trentenaire se plaignait d’un rhume tenace. Rien de bien méchant, pensait-il, si ce n’est ces légers saignements de nez qui revenaient sans cesse. Les traitements classiques ne faisant aucun effet, il a fini par pousser la porte d’un hôpital. C’est là que son histoire, jusqu’ici banale, a pris une tournure digne d’un scénario de film.

La découverte d’un intrus bien vivant

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Pour comprendre l’origine de ces symptômes persistants, les médecins ont procédé à une endoscopie nasale. L’examen a révélé l’impensable : une sangsue, bien vivante, était solidement agrippée à la paroi de sa cavité nasale. La cause de son ‘rhume’ était en fait un parasite qui avait élu domicile dans son nez.

Remonter à la source du problème

credit : lanature.ca (image IA)
Comment une telle chose a-t-elle pu arriver ? En interrogeant le patient, les pièces du puzzle se sont assemblées. Une vingtaine de jours plus tôt, lors d’une randonnée, il s’était rafraîchi le visage dans l’eau fraîche d’une rivière de montagne. C’est très certainement à ce moment-là qu’une larve de sangsue, invisible à l’œil nu, s’est introduite dans ses narines.

Trois semaines de cohabitation forcée

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Pendant près de trois semaines, le parasite a tranquillement grandi, se nourrissant de son sang. Cette cohabitation forcée explique les symptômes : l’irritation constante donnait l’impression d’un nez bouché, et les petites morsures provoquaient les saignements récurrents. Le tout, sans causer de douleur aiguë qui aurait pu alerter le patient plus tôt.

Une extraction délicate mais réussie

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L’extraction a été confiée à un spécialiste ORL. Après une anesthésie locale pour endormir la zone et le parasite, le médecin a pu retirer l’intrus à l’aide d’un aspirateur médical. L’opération, bien que délicate, s’est déroulée sans accroc. Le patient a pu rentrer chez lui, enfin débarrassé de son ‘rhume’ et de son invité clandestin.

Le vrai visage des sangsues d’eau douce

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Ce cas, bien que rarissime, n’est pas unique. Certaines espèces de sangsues d’eau douce, comme la Dinobdella ferox que l’on trouve dans les régions tropicales et montagneuses, sont connues pour pouvoir s’infiltrer dans les orifices. Une fois installées, elles peuvent causer des saignements chroniques, des démangeaisons et, dans les cas les plus extrêmes, une anémie.

quand la nature nous réserve des surprises

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Cette histoire a le mérite de nous rappeler une leçon simple : il faut savoir écouter son corps. Des symptômes qui persistent au-delà de deux semaines ne doivent jamais être pris à la légère. Surtout après une baignade en pleine nature ou un voyage. Parfois, un examen approfondi est la seule façon de débusquer les surprises que la nature, dans sa complexité, nous réserve.

Selon la source : passeportsante.net

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