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Un phénomène OVNI resté inexpliqué durant 70 ans pourrait enfin être confirmé grâce à de nouveaux tests scientifiques
Crédit: lanature.ca (image IA)

Et si les OVNIs étaient déjà sur nos photos depuis 70 ans ?

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On a tous entendu des histoires d’OVNIs, de soucoupes volantes et de phénomènes étranges dans le ciel. La plupart du temps, on sourit, on n’y croit pas trop. Mais voilà que des scientifiques très sérieux publient deux études qui jettent un pavé dans la mare. Ils se sont penchés sur de très vieilles photographies du ciel, des clichés pris dans les années 1950. C’est-à-dire… bien avant que l’homme n’envoie le premier satellite, Spoutnik, dans l’espace en 1957. Et ce qu’ils y ont trouvé est assez troublant.

Un sujet qui redevient étonnamment sérieux

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Il faut dire que le sujet n’est plus aussi tabou qu’avant. Même le gouvernement américain en parle ouvertement maintenant, avec des auditions officielles. On ne dit plus vraiment OVNI, d’ailleurs, mais « PANI », pour « Phénomènes Anormaux Non Identifiés ». Ça fait tout de suite plus officiel, n’est-ce pas ?

Entre les inquiétudes pour la sécurité de nos avions, les histoires de ballons espions chinois qui se baladent au-dessus des États-Unis, l’intérêt du public et des autorités pour ce qui se passe là-haut a grimpé en flèche. Disons que tout le monde est devenu un peu plus attentif.

Que montrent vraiment ces vieilles photos ?

credit : lanature.ca (image IA)

Alors, qu’est-ce que ces chercheurs ont bien pu trouver sur ces clichés d’archives ? L’une des autrices des études, Beatriz Villarroel, une professeure en Suède, explique avoir mené des « tests statistiques rigoureux » sur des points lumineux qui apparaissent et disparaissent sur les photos. On appelle ça des « transitoires ».

Pendant des années, les critiques disaient que c’était juste des défauts sur la pellicule. Mais l’équipe de Mme Villarroel montre que ces points lumineux coïncident étrangement avec des essais nucléaires de l’époque et des rapports d’OVNIs historiques. Plus fou encore, ils semblent parfois alignés d’une façon qui ne peut pas être le fruit du hasard. Mais le plus important, c’est que ces lumières disparaissent pile au moment où elles passent dans l’ombre de la Terre. Pour elle, c’est la clé : cela indiquerait qu’on observe de vrais objets physiques en orbite autour de notre planète.

Des objets « non naturels » avant même l’ère spatiale ?

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Le détail qui interpelle, c’est la forme de certaines de ces lumières. Elles sont nettes, comme des étoiles. D’après la chercheuse, cela suggère qu’elles proviennent de la réflexion sur des surfaces plates, un peu comme un miroir. Or, un objet naturel comme un astéroïde est tout cabossé, il ne renverrait pas la lumière de cette façon.

En d’autres termes, pour elle, quelque chose d’artificiel, de non naturel, devait se trouver là-haut. Et je le répète, tout ça se passait avant même que nous, les humains, ayons envoyé quoi que ce soit dans l’espace. La question est simple : qu’est-ce que ça pouvait bien être ?

Tout le monde n’est pas convaincu, loin de là

Évidemment, l’histoire serait presque trop belle pour être vraie. D’autres experts, eux, préfèrent rester prudents. Deux spécialistes indépendants rappellent que ces vieilles plaques photographiques en verre sont de vrais nids à problèmes. Des rayures, des défauts dans la chimie de la plaque, des erreurs quand on les numérise aujourd’hui… Bref, il est très facile de se laisser berner et de prendre un simple défaut pour une découverte extraordinaire.

L’un d’eux, Nigel Hambly, explique qu’après des décennies à travailler sur ces plaques, il sait qu’il « n’y a rien de mieux que de regarder les plaques originales sur une table lumineuse avec un microscope » avant de tirer des conclusions. Un autre, Robert Lupton, n’est pas convaincu par l’analyse statistique et trouve que les preuves ne sont pas si solides que ça. Pour lui, ce n’est pas une « preuve extraordinaire ».

Le mystère reste entier, mais le débat est relancé

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Alors, que retenir de tout ça ? On a d’un côté une étude qui avance des arguments assez troublants et qui semble bien ficelée. De l’autre, des experts qui appellent à la plus grande prudence et demandent plus de preuves concrètes. Beatriz Villarroel, la chercheuse principale, ne baisse pas les bras. Elle pense que toute cette histoire d’OVNIs est tellement entourée de scepticisme et de préjugés que cela empêche la science d’avancer sereinement sur le sujet.

Le mystère des photos de l’observatoire Palomar n’est donc pas résolu, c’est une certitude. Mais une chose est sûre : il vient de remettre une pièce dans la machine et de relancer un débat qui n’est probablement pas près de s’arrêter. Et c’est peut-être ça, le plus important.

Selon la source : popularmechanics.com

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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