Alzheimer : au-delà de l'âge, les facteurs de risque complexes
Mais ils ne sont pas les seuls. L’hypertension, le tabagisme, la sédentarité ou encore le diabète jouent un rôle majeur. Et, point crucial trop souvent négligé, ce que nous mettons dans notre assiette pourrait bien être un facteur déterminant dans la manière dont notre cerveau vieillit.
La nutrition, une défense anti-inflammatoire essentielle
Inversement, les plats ultratransformés, gorgés de sucres raffinés et de graisses trans, sont de véritables accélérateurs de vieillissement cognitif. Ils mettent le cerveau en état d’alerte inflammatoire permanent, ouvrant la porte aux pathologies.
Le régime mind : la synergie de deux approches gagnantes
Ce faisant, ils ont mis au point une stratégie nutritionnelle qui cible très précisément l’inflammation chronique et vise à optimiser la protection des neurones pour en ralentir le vieillissement.
Quels sont les principes clés de cette alimentation ?
- À privilégier absolument : les légumes verts à feuilles (épinards, chou kale), les baies (myrtilles, fraises), les noix, les céréales complètes, les poissons gras et l’huile d’olive.
- À limiter fortement : le fromage, le beurre, les margarines, la viande rouge et surtout les aliments frits ou issus de la restauration rapide.
L’approche est simple : privilégier les aliments bruts, naturels et protecteurs, tout en réduisant drastiquement les graisses saturées et le sucre ajouté.
L'impact mesuré par la science : 40 % de risque en moins
Pour les personnes qui adhèrent strictement aux préceptes du régime MIND, le risque de développer la maladie d’Alzheimer diminue de près de 40 %. Et même pour ceux qui l’adoptent de manière plus modérée, le bénéfice reste non négligeable, avec une réduction du risque de 20 %. Ces données positionnent cette approche nutritionnelle parmi les stratégies de prévention les plus efficaces actuellement disponibles contre les pathologies neurodégénératives.
une stratégie accessible pour l'avenir
Attention, il ne s’agit pas d’une cure miracle isolée. Pour être réellement optimisé, ce choix nutritionnel doit évidemment s’intégrer à une hygiène de vie globale saine, comprenant une activité physique régulière et un sommeil suffisant. Mais c’est, incontestablement, un pas de plus vers une meilleure prévention de notre mémoire, qui commence dans l’assiette, un repas après l’autre.
Selon la source : passeportsante.net
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