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Une théorie d’une mère après la réponse du musée sur le corps de son fils
Crédit: Facebook/ Kim Erick Smith

C’est une histoire qui vous glace le sang et qui dépasse l’entendement. Imaginez une mère, déjà dévastée par la perte de son enfant, qui se retrouve persuadée d’avoir reconnu le corps de son fils… exposé dans un musée. C’est le calvaire que vit Kim Erick depuis des années. Alors qu’elle pensait avoir trouvé une piste macabre expliquant la disparition de la dépouille de son fils, la réponse officielle de l’exposition a balayé ses certitudes. Mais loin d’apaiser ses tourments, cette réponse l’a poussée vers une nouvelle théorie, peut-être encore plus sombre. Plongeons dans ce mystère troublant.

La mort mystérieuse de Chris en 2012

Pour comprendre la détresse de Kim, il faut remonter à 2012. Son fils, Chris Todd Erick, est décédé tragiquement à l’âge de 23 ans. Au départ, tout semblait indiquer un suicide. Mais Kim a toujours eu des doutes, soupçonnant quelque chose de plus sinistre. Deux ans plus tard, une enquête pour meurtre a révélé que Chris était mort d’une toxicité au cyanure. Cependant, faute de preuves d’acte criminel, la mort a été officiellement classée comme un suicide par « moyens indéterminés ». C’est le genre de conclusion floue qui empêche souvent de faire son deuil.

Le choc face à l’exposition « Real Bodies »

En 2018, la douleur de Kim a refait surface de manière brutale. En visitant l’exposition Real Bodies, qui montre des restes humains préservés, elle est tombée sur un corps surnommé « Le Penseur ». Dans une interview accordée au journal The Sun, elle raconte ce moment effroyable : « Je savais que c’était lui. C’était incroyablement douloureux à regarder ». Elle était persuadée de voir son fils « écorché et dépecé ». Elle a même demandé des tests ADN, convaincue d’avoir retrouvé la trace de son enfant.

Le démenti formel des organisateurs

Face à ces accusations gravissimes, la société Imagine Exhibitions, Inc., qui gère l’exposition, a réagi fermement. Dans une déclaration faite au site Lead Stories, ils ont affirmé qu’il n’y avait « aucune base factuelle » à ces allégations. Leur argument principal ? Le spécimen en question est exposé à Las Vegas depuis 2004, soit bien avant le décès de Chris en 2012. Ils assurent que tous les spécimens sont d’origine éthique. Une explication qui, techniquement, rend impossible la théorie de Kim concernant le musée.

Pourquoi Kim doute-t-elle de la crémation ?

Mais pourquoi cette mère cherche-t-elle le corps de son fils ? Eh bien, c’est là que ça se complique. Kim explique qu’aucune funérailles n’a eu lieu. C’est son ex-compagnon, le père de Chris, qui a organisé une crémation rapide pendant qu’elle était en plein deuil. Elle n’a jamais vu le corps avant la crémation, ce qui, on peut le comprendre, laisse une place immense au doute et aux scénarios les plus terribles dans l’esprit d’une mère.

Une nouvelle piste macabre dans le désert du Nevada

Maintenant que la piste du musée semble écartée, Kim Erick s’est tournée vers une autre possibilité tout aussi effrayante. En juillet dernier, 315 piles de restes humains incinérés ont été découvertes près de la ville de Searchlight, dans le Nevada, à une heure de Las Vegas. Selon The Sun, Kim se demande si les restes de son fils ne se trouvent pas parmi ces tas de cendres abandonnés. Elle réclame désormais que ces « crémains » soient testés pour l’ADN, espérant enfin trouver la vérité, aussi douloureuse soit-elle.

Conclusion : Une quête de vérité sans fin

Facebook/Kim Erick Smith
Cette affaire tragique montre jusqu’où peut aller la détresse d’une mère qui n’a pas obtenu de réponses claires sur la mort de son enfant. Que ce soit dans un musée ou dans le désert, Kim Erick continue de chercher son fils. En attendant les résultats de l’enquête du Bureau of Land Management (BLM) sur ces cendres trouvées dans le Nevada, on ne peut qu’espérer qu’elle trouve un jour la paix.
Selon la source : leadstories.com

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