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Un nouveau matériau de construction capable de respirer et de guérir la planète
Crédit: lanature.ca (image IA)

Quand nos murs se mettent au vert

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Regardez autour de vous : nos villes, nos maisons, nos ponts… tout semble fait de béton. C’est solide, certes, mais c’est franchement une catastrophe pour notre climat. Heureusement, des chercheurs du Worcester Polytechnic Institute ont peut-être trouvé la solution miracle. Ils ont mis au point un matériau inédit, l’ESM, qui absorbe le dioxyde de carbone au lieu d’en produire. C’est un peu comme si nos murs se mettaient soudain à respirer pour nous aider. Dans leur étude parue dans la revue Matter, ils expliquent avoir imité la nature pour créer ce matériau via un processus biologique doux.

Contrairement au béton classique qui demande une énergie folle, ce nouveau venu est fabriqué sans cuisson intense. Je trouve ça incroyable de penser que la biologie pourrait réparer les dégâts de l’industrie lourde. Ce matériau est décrit comme solide, durable et entièrement recyclable. On dirait presque de la science-fiction, mais c’est bien réel et ça pourrait, je l’espère, changer radicalement la façon dont nous construisons l’avenir de nos enfants.

Une recette inspirée par la nature

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C’est le professeur Nima Rahbar qui a dirigé cette équipe ingénieuse. Leur secret réside dans l’utilisation d’une enzyme, une sorte de petite ouvrière biologique, qui transforme le CO2 en particules minérales solides. Ensuite, tout cela est lié ensemble et durcit tranquillement à température ambiante. C’est là que ça devient bluffant : alors qu’il faut parfois des semaines au béton traditionnel pour sécher complètement, l’ESM, lui, est prêt à l’emploi en quelques heures seulement. Imaginez un peu le gain de temps phénoménal sur un chantier !

Ce qui me frappe le plus, c’est la simplicité du procédé. Pas besoin de fours géants chauffés à des températures infernales. Tout se fait dans la douceur, un peu comme une recette de cuisine naturelle. Cette méthode permet de mouler le matériau dans toutes les formes structurelles imaginables très rapidement. C’est une approche bio-inspirée, ce qui veut dire qu’on copie humblement ce que la nature fait de mieux. Pourquoi faire compliqué et polluant quand on peut faire simple ?

Un piège à carbone redoutablement efficace

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Il faut se rendre à l’évidence : le béton est le matériau le plus utilisé sur Terre, mais sa production génère près de 8 % des émissions mondiales de CO2. C’est colossal. Comme le souligne Rahbar, ils ont créé une alternative qui ne se contente pas de limiter les dégâts, mais qui les répare activement. Tenez, voici un chiffre qui donne le vertige : produire un mètre cube de ce matériau capture plus de 6 kilos de CO2, alors que le béton conventionnel en émet 330 kilos pour la même quantité.

La différence est tellement énorme qu’elle en devient presque difficile à visualiser. C’est littéralement le jour et la nuit. L’ESM agit comme un piège, emprisonnant ce gaz nocif dans nos murs. Si l’on parvient à remplacer une fraction de nos constructions par cette technologie négative en carbone, l’impact sur l’atmosphère serait gigantesque. C’est plutôt rassurant de voir que la science avance enfin dans le bon sens, vous ne trouvez pas ?

Bâtir un avenir plus propre

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Alors, à quoi cela va-t-il servir concrètement ? Grâce à sa rapidité de séchage et sa solidité, l’ESM est parfait pour fabriquer des éléments comme des toits ou des panneaux muraux. Sa capacité à être réparé pourrait réduire les coûts et éviter d’envoyer des tonnes de gravats dans nos décharges. Je pense surtout aux zones touchées par des catastrophes naturelles. Avoir un matériau léger, rapide à produire et écologique pourrait accélérer la reconstruction et aider des milliers de gens à retrouver un toit bien plus vite.

Cette innovation ouvre des portes incroyables pour le logement social et les infrastructures durables. Puisque l’ESM utilise des intrants biologiques renouvelables, il s’aligne parfaitement avec l’idée d’une économie circulaire vertueuse. Bien sûr, il faudra du temps pour changer nos vieilles habitudes, mais l’espoir est bien là. C’est une étape prometteuse vers un monde où nos bâtiments ne détruisent plus la planète, mais participent enfin à sa guérison.

Selon la source : phys.org

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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