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1,18 million de morts : l’hécatombe russe en Ukraine qui déchire une nation
Crédit: shutterstock / lanature.ca (image IA)

Une artillerie à genoux

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Trente-trois systèmes d’artillerie réduits en cendres, en une seule journée. Vous vous rendez compte ? C’est… c’est colossal. L’artillerie, c’est pourtant le cœur battant de l’armée russe, sa méthode préférée pour pilonner sans fin. Mais là, l’Ukraine a changé la donne. Avec une combinaison astucieuse de drones et de radars, ils repèrent les canons ennemis avant même qu’ils ne tirent. C’est une chasse technique, presque chirurgicale, qui prive Moscou de son atout majeur. On est loin de la guerre à l’ancienne ; ici, c’est la technologie qui dicte sa loi, et visiblement, elle a choisi son camp pour le moment.Les soldats ukrainiens ne laissent aucune chance aux servants russes. À peine une batterie est-elle installée qu’elle est déjà ciblée par des obusiers occidentaux ultra-précis, comme nos Caesar ou les M777 américains. C’est du « tir et fuite », mais version létale. Les Russes, eux, sont contraints de reculer, de tirer moins, la peur au ventre. C’est une humiliation tactique, ni plus ni moins. Cette suprématie dans le duel d’artillerie bouleverse tout le front. On sent bien que la machine de guerre du Kremlin s’enraye, incapable de suivre le rythme imposé par une défense ukrainienne qui, franchement, ne cesse d’étonner par son ingéniosité.

Cimetière de ferraille : chars et roquettes

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Et que dire des chars ? Ces mastodontes d’acier censés percer les lignes… ils finissent en brasier. T-72, T-80, peu importe le modèle, ils tombent comme des mouches face aux Javelins et autres missiles occidentaux. L’Ukraine utilise aussi des petits drones kamikazes, une solution presque « bricolée » mais redoutablement efficace. C’est effrayant et fascinant à la fois de voir comment des engins à plusieurs millions sont neutralisés par de la technologie bien plus légère. Moscou perd là son outil principal de manœuvre, se retrouvant bloqué, incapable d’avancer sans subir des pertes atroces.Le pire, c’est sans doute pour les lance-roquettes multiples, ces engins de terreur qui arrosent aveuglément. En les détruisant, l’Ukraine protège ses soldats, mais aussi ses civils. C’est… enfin, c’est un soulagement. Moins de ces camions lanceurs de mort, c’est moins de bombardements indiscriminés sur les villes. La Russie perd sa capacité de nuisance massive. Sans ces outils pour saturer le terrain, l’armée russe se retrouve un peu nue, forcée de jouer la défense alors qu’elle promettait une conquête éclair. Quelle ironie, quand on y pense, de voir la « deuxième armée du monde » ainsi acculée.

Le coût humain : une génération sacrifiée

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1,18 million. Je dois relire le chiffre deux fois pour y croire. C’est… c’est une boucherie, il n’y a pas d’autre mot. On parle d’un nombre de victimes russes qui dépasse les pertes américaines de toute la Seconde Guerre mondiale ! C’est une génération entière de jeunes hommes qui disparaît, sacrifiée pour… pour quoi, au juste ? Des lignes sur une carte ? Cette saignée va marquer la démographie russe pour des décennies. Des pères, des fils, des maris qui ne reviendront pas. C’est un vide immense, un gouffre social qui se creuse sous les pieds du Kremlin.

Ce qui est terrible, c’est de voir qui est envoyé au casse-pipe. Au début, c’étaient des soldats de métier. Puis des réservistes. Maintenant ? Des prisonniers, des pauvres types raflés au fin fond de la Sibérie. Poutine racle les fonds de tiroir, c’est évident. On sent bien que personne ne veut plus y aller. Les cimetières russes s’étendent à vue d’œil – on le voit sur les images satellites – et pourtant, le pouvoir continue, sourd aux pleurs des familles. C’est une tragédie humaine absolue, transformée en simple statistique par un régime froid et calculateur. Ça fait froid dans le dos.

Conclusion : L’autodestruction d’une puissance

Quand on regarde le bilan matériel, c’est tout aussi vertigineux : plus de 11 000 chars, près de 88 000 drones… tout l’héritage soviétique part en fumée. C’est des années, des décennies de production industrielle anéanties en moins de quatre ans. Les usines russes ont beau tourner jour et nuit, elles ne peuvent pas suivre cette cadence infernale de destruction. Moscou est en train de désarmer sa propre armée à vitesse grand V. On voit même réapparaître de vieux canons des années 50 ! C’est le signe d’une armée qui s’essouffle, qui bricole pour survivre.Au final, cette guerre des chiffres révèle une vérité crue : la Russie s’autodétruit militairement et humainement. L’Ukraine a su s’adapter, devenir experte dans la chasse aux drones et aux blindés, rendant chaque attaque russe coûteuse, trop coûteuse. Ce n’est plus une opération militaire, c’est un gaspillage insensé de vies et de métal. Je me demande combien de temps encore cette folie peut durer avant que tout ne s’effondre de l’intérieur. Car aucune nation, aussi vaste soit-elle, ne peut saigner indéfiniment sans finir par s’écrouler.
Selon la source : armyinform.com.ua

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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