Une artillerie à genoux

Cimetière de ferraille : chars et roquettes

Le coût humain : une génération sacrifiée

1,18 million. Je dois relire le chiffre deux fois pour y croire. C’est… c’est une boucherie, il n’y a pas d’autre mot. On parle d’un nombre de victimes russes qui dépasse les pertes américaines de toute la Seconde Guerre mondiale ! C’est une génération entière de jeunes hommes qui disparaît, sacrifiée pour… pour quoi, au juste ? Des lignes sur une carte ? Cette saignée va marquer la démographie russe pour des décennies. Des pères, des fils, des maris qui ne reviendront pas. C’est un vide immense, un gouffre social qui se creuse sous les pieds du Kremlin.
Ce qui est terrible, c’est de voir qui est envoyé au casse-pipe. Au début, c’étaient des soldats de métier. Puis des réservistes. Maintenant ? Des prisonniers, des pauvres types raflés au fin fond de la Sibérie. Poutine racle les fonds de tiroir, c’est évident. On sent bien que personne ne veut plus y aller. Les cimetières russes s’étendent à vue d’œil – on le voit sur les images satellites – et pourtant, le pouvoir continue, sourd aux pleurs des familles. C’est une tragédie humaine absolue, transformée en simple statistique par un régime froid et calculateur. Ça fait froid dans le dos.
Conclusion : L’autodestruction d’une puissance
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