Une opération audacieuse du SBU

Bonjour à tous. On entend souvent parler de ce qui se passe loin de chez nous, mais les événements récents en Crimée méritent qu’on s’y attarde un instant. C’est une information qui nous vient directement du service de sécurité ukrainien, le SBU. Le 20 décembre, une opération d’envergure a eu lieu, et croyez-moi, elle n’est pas passée inaperçue.
Des drones ukrainiens à longue portée ont ciblé l’aérodrome militaire de Belbek, situé en Crimée occupée, tout près de Sébastopol. Ce n’est pas n’importe quel endroit : c’est une base clé utilisée par les forces russes pour stationner leurs chasseurs et positionner leurs défenses aériennes sur la péninsule. L’opération a été menée, nous dit-on, par le Centre d’opérations spéciales « A » du SBU, aussi connu sous le nom d’Alpha. Une unité d’élite, visiblement.
Des dégâts matériels considérables

Alors, qu’est-ce qui a été touché exactement ? Eh bien, le bilan semble lourd. Les drones ont réussi à frapper deux avions de chasse Su-27. Le rapport précise un détail assez impressionnant : l’un de ces avions se trouvait sur une voie de circulation (le taxiway), chargé à bloc de munitions et prêt pour une sortie de combat. Il a été purement et simplement détruit. On imagine la violence de l’impact.
Le SBU a fait ses comptes, et l’addition est salée. Le coût combiné de ces deux appareils est estimé à environ 70 millions de dollars. Une somme astronomique, n’est-ce pas ? Mais ce n’est pas tout. Il semblerait que la tour de contrôle de l’aérodrome ait également été touchée. Comme le souligne le rapport, cela risque de « compliquer l’organisation et le contrôle des vols » sur place. On peut supposer que la logistique va en prendre un coup pendant quelque temps.
Une série d’attaques méthodiques

Il faut bien comprendre que cet événement ne sort pas de nulle part. C’est en réalité la deuxième attaque réussie du SBU sur cet aérodrome de Belbek en l’espace de quelques jours seulement. À peine deux jours plus tôt, le 18 décembre, leurs drones avaient déjà frappé fort, visant des équipements russes d’une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars.
La liste du matériel touché lors de cette précédente frappe donne le vertige :
- Deux radars de type Nebo-SVU;
- Un radar 92N6 du fameux système S-400 Triumph;
- Un système de défense aérienne Pantsir-S2;
- Et même un avion MiG-31, lui aussi avec son chargement de combat complet.
C’est une véritable stratégie d’usure qui semble se mettre en place.
Conclusion : Une stratégie qui s’installe dans la durée
Pour conclure, que peut-on retenir de tout cela ? Ces frappes sur les aérodromes clés et la destruction systématique des avions et des défenses en Crimée ne sont pas des actes isolés. Selon l’agence ukrainienne, ces actions « réduisent de manière significative le potentiel militaire de l’ennemi dans la région ». C’est du moins l’objectif affiché.
Le SBU a d’ailleurs prévenu avec une certaine assurance : « ce travail systématique va continuer ». On peut donc s’attendre, je suppose, à d’autres nouvelles de ce genre dans les semaines à venir. La situation reste tendue et volatile, et nous garderons un œil là-dessus pour vous.
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.