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Tensions maximales : des avions de l’OTAN de nouveau déployés après une nouvelle attaque russe
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Un réveil brutal et la fin des espoirs de trêve

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On espérait peut-être un peu de répit après les fêtes, mais la réalité nous a vite rattrapés. Les forces de Vladimir Poutine ont lancé une nouvelle attaque, que l’on pourrait qualifier d’horreur absolue, juste après le Boxing Day. Ce matin du 27 décembre, aux premières heures, la tension est montée d’un cran : des avions de chasse de l’OTAN ont dû décoller en urgence, on dit qu’ils ont été « scrambled » comme disent les anglophones, face à cette menace grandissante qui a fait 11 blessés.

C’est terrible, n’est-ce pas ? Ces événements ne font qu’alimenter, hélas, les craintes de plus en plus vives d’une « Troisième Guerre mondiale ». Cette offensive sur Kiev, menée à grands renforts de missiles et de drones, survient à un moment critique, tout juste un jour avant des discussions capitales entre l’Ukraine et les États-Unis. On se souvient que la Russie avait balayé d’un revers de main les offres d’une « trêve de Noël » pour cette période. Le président Volodymyr Zelenskyy y était pourtant favorable, suggérant même d’épargner les infrastructures énergétiques… mais non. Poutine refuse catégoriquement de laisser le moindre « espace de respiration » à l’Ukraine. C’est du moins l’impression que cela donne, alors que la guerre dure depuis près de quatre ans maintenant.

Une nuit de chaos à Kiev : le bilan des dégâts

Sur le terrain, la situation a été cauchemardesque. Les explosions ont résonné dans tout Kiev pendant des heures interminables. Ce n’était pas juste quelques tirs isolés, mais bien une pluie de missiles balistiques et de drones frappant la capitale. D’après les responsables locaux, pas moins de sept endroits différents ont été touchés. Le bilan humain est lourd, et ça fait mal au cœur de l’écrire : deux enfants figurent parmi les blessés.

Les dégâts matériels sont impressionnants. Un incendie s’est déclaré dans un immeuble résidentiel de 18 étages dans le quartier de Dnipro. Imaginez la panique. Mais ce n’est pas tout… Les officiels ont aussi rapporté qu’une tour résidentielle de 24 étages a été frappée dans le quartier de Darnytsia. Et comme si cela ne suffisait pas, d’autres feux ont éclaté dans les districts d’Obolonskyi et de Holosiivsky. Le Service d’urgence ukrainien a confirmé que les frappes ont touché indistinctement des bâtiments industriels et résidentiels dans toute la région de Kiev. C’est une nuit que les habitants ne sont pas près d’oublier.

L’enjeu diplomatique : la rencontre en Floride

shutterstock / President.gov.ua , via Wikimedia Commons — CC BY 4.0

Cette attaque russe survient quelques heures seulement après une annonce majeure de Zelenskyy : il va rencontrer Donald Trump en Floride demain. C’est un timing qui interroge, vous ne trouvez pas ? Le président ukrainien a confié aux journalistes qu’un plan en 20 points est actuellement sur la table et qu’il serait « prêt à environ 90 pour cent ». C’est précis. Il a aussi mentionné qu’un « accord économique » serait discuté, même s’il est resté prudent, incapable de confirmer si quelque chose serait finalisé à l’issue de la rencontre. Il a ajouté, presque en passant, que la partie ukrainienne soulèverait les épineuses « questions territoriales ».

Zelenskyy aurait, semble-t-il, aimé que les Européens soient de la partie. Il a déclaré : « Nous devons, sans aucun doute, trouver un format dans un avenir proche où non seulement l’Ukraine et les États-Unis sont présents, mais où l’Europe est représentée aussi ». Mais bon, il doute que cela soit possible avec un délai si court. Les États-Unis mènent la charge pour tenter de mettre fin à cette guerre, mais leurs efforts se heurtent souvent aux exigences diamétralement opposées de Moscou et de Kiev. C’est un véritable casse-tête diplomatique.

Conclusion : La vigilance des voisins

Pendant ce temps, juste à côté, on ne reste pas les bras croisés. Ces pourparlers et ces attaques s’inscrivent dans un contexte tendu où les forces armées polonaises ont confirmé que leurs avions de chasse avaient « commencé des opérations ». Les frappes russes ont déclenché l’aviation militaire pour opérer dans l’espace aérien voisin. C’est une réaction immédiate.

Le Commandement opérationnel a précisé dans un communiqué que « ces opérations sont de nature préventive et visent à sécuriser et protéger l’espace aérien, en particulier dans les zones adjacentes aux zones menacées ». En somme, personne ne veut prendre de risques avec ce qui se passe à la frontière. On vit vraiment une époque incertaine.

Selon la source : independent.co.uk

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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