Trump se compare à Biden : “Je ne dors pas autant que lui”, quelques jours après son micro-sommeil en public
Auteur: Simon Kabbaj
C’est une scène pour le moins cocasse qui s’est déroulée au Bureau Ovale. Le président Donald Trump a profité d’un événement avec le prince héritier saoudien pour lancer une pique à son prédécesseur, Joe Biden, sur son sommeil. Le problème ? Quelques jours auparavant, M. Trump avait lui-même été filmé en train de piquer un somme au même endroit. Cette déclaration a de quoi surprendre.
Le fameux moment de sommeil
Rappelons les faits. Un peu plus tôt ce mois-ci, des photos et des vidéos ont fait le tour du monde. On y voyait le président Trump, les yeux fermés, semblant dormir en plein milieu d’un événement de presse consacré aux médicaments contre la perte de poids. Cet incident lui avait valu de nombreuses moqueries de la part de ses détracteurs. Visiblement, cela ne l’a pas empêché d’aborder le sujet lui-même quelques jours plus tard.
Une question sur son secret pour gérer son temps
Tout est parti d’une question d’un journaliste saoudien lors d’une séance photo avec le prince héritier Mohammed ben Salmane. Après avoir complimenté le président sur ses actions pour la paix, le journaliste a demandé : ‘Nous nous demandons, en Arabie Saoudite, comment vous gérez votre propre temps et quelle est votre formule de gestion ?’ Il a fait référence à un discours où Trump avait dit que le prince héritier ne dormait pas la nuit, pensant à comment améliorer les choses.
La réponse de Trump : une attaque contre Biden
La réponse de Donald Trump a été directe. « Il ne dort pas beaucoup, et je ne dors pas beaucoup. Je pense que nous avons le même programme’, a-t-il commencé. Puis, il a immédiatement enchaîné sur une attaque contre Joe Biden. ‘Nous venons d’en avoir un qui dormait plus que n’importe quel président. Il a battu tous les records. Il dort tout le temps, le jour, la nuit, sur la plage.’ Et c’est là qu’il a lancé sa fameuse phrase : ‘Non, ce n’est pas un dormeur. Je ne suis pas un dormeur, mais nous, nous ne le sommes pas.’ Une manière de transformer une potentielle faiblesse en une attaque contre son rival.
Conclusion : Quand l'arroseur est presque arrosé
Selon la source : mediaite.com