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Trump s’offre 100 M$ d’obligations depuis son retour à la Maison-Blanche
Crédit: shutterstock

Depuis son retour à la Maison-Blanche, on peut dire que Donald Trump ne chôme pas. Mais ce n’est pas seulement de politique dont il est question ici, c’est aussi de gros sous, et même de très gros sous. Des documents officiels viennent de révéler que le président américain a sorti le chéquier pour des montants assez vertigineux, investissant massivement pendant qu’il dirige le pays. Alors, simple placement ou conflit d’intérêts ? C’est une situation trouble qui mérite qu’on s’y attarde un peu, car les sommes engagées donnent le tournis.

Une fièvre acheteuse impressionnante

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D’après les déclarations financières qui ont été rendues publiques, le président a investi une véritable fortune en un temps record. On parle ici d’achats d’obligations d’entreprises et de municipalités pour un montant d’au moins 82 millions de dollars. Et tout ça s’est passé très vite, entre la fin août et le début octobre. Une autre déclaration déposée en août montre même que depuis son retour dans le Bureau ovale, son portefeuille a acquis pour plus de 100 millions de dollars d’obligations. C’est, disons-le, une stratégie de dépenses pour le moins agressive.

Des centaines de transactions sous la loupe

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Ce n’est pas juste une ou deux grosses opérations. Selon un communiqué de l’Office of Government Ethics des États-Unis, Donald Trump a effectué pas moins de 175 achats individuels d’actions d’entreprises rien qu’entre août et octobre 2025. Si le communiqué reste flou sur la valeur exacte de chaque petit achat, les documents déposés laissent entendre que la valeur totale maximale de ces obligations pourrait dépasser les 337 millions de dollars. La question qui brûle les lèvres est donc : quelle quantité est trop importante pour un président en exercice ?

Un portefeuille très diversifié… et stratégique ?

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Ce qui interpelle, c’est ce qu’il a acheté. Trump a misé sur des secteurs qui profitent, ou ont profité par le passé, de ses propres lois. C’est un véritable bourbier d’achats : des fabricants de puces électroniques comme Qualcomm et Broadcom, des géants de la vente au détail comme CVS Pharmacies et Home Depot, ou encore l’entreprise technologique Meta. Il a aussi investi dans plusieurs banques de Wall Street, dont Goldman Sachs et Morgan Stanley, et a racheté pour des millions de dollars de dettes de la banque d’investissement JPMorgan.

L’ombre sur Intel

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Il y a un cas qui semble particulièrement problématique. Ce qui pourrait être l’exemple le plus flagrant : l’achat par Trump d’actions Intel. Pourquoi ? Parce que c’est une société dans laquelle le gouvernement américain a pris une participation, et ce, selon les directives de Trump lui-même. Malgré cela, c’est silence radio du côté de l’administration. La Maison-Blanche n’a pas commenté cette apparente corruption, se contentant d’affirmer que M. Trump déclare ses investissements mais que ni lui ni sa famille ne gèrent activement le portefeuille.

Milliardaire grâce au Bitcoin

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Au-delà de ces obligations, la fortune de Trump continue de grimper grâce à d’autres sources. Dans sa déclaration annuelle pour 2024, il a déclaré plus de 600 millions de dollars de revenus. Cela vient de ses propriétés de golf, de licences, mais surtout des crypto-monnaies, qui sont désormais la source la plus importante de sa fortune. D’après l’agence Reuters, la valeur nette de Trump est estimée à au moins 1,6 milliard de dollars. Il est donc littéralement un milliardaire du bitcoin.

Conclusion : Un mélange des genres qui perdure

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En somme, ces révélations peignent le portrait d’un président qui continue d’accumuler une fortune colossale tout en dirigeant le pays. Entre les investissements dans des secteurs qu’il régule et le silence de son administration face aux accusations de conflits d’intérêts, les questions éthiques ne sont pas près de s’éteindre. C’est un mélange des genres qui risque de faire encore couler beaucoup d’encre dans les mois à venir.

Selon la source : cnbc.com

Cet article a été rédigé avec l’aide de l’IA, puis révisé par un humain pour en garantir la précision et la clarté

 

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