Paul st-pierre plamondon présente ses excuses pour l’«aplaventrisme», mais maintient le fond de sa critique
Auteur: Adam David
L’art de l’excuse stratégique
Quand le milieu culturel applaudit ottawa
La question de la loyauté québécoise

L’effet sur les souverainistes historiques
C’est d’ailleurs cet échange qui semble avoir servi de déclencheur à l’intervention télévisée. Paul St-Pierre Plamondon a révélé avoir texté avec Paul Piché juste avant l’émission : «On s’est dit, j’avais tort sur la forme, j’avais raison sur le fond, mais il y a une cause qui nous unit, et c’est ça qui est important.»
Radio-canada et l’«apparence de partialité»
Devant Guy A. Lepage, il a notamment soulevé la question de l’indépendance de la société d’État, qui se serait vantée d’avoir obtenu 150 millions de dollars du fédéral. Selon lui, cela pose un problème d’«apparence de partialité», une accusation jugée «assez grave» par l’animateur. Pour M. St-Pierre Plamondon, le danger est réel : il craint un «déclin rapide» et ne veut pas que le Québec vive «dans une torpeur en ignorant ce qui se passe réellement».
la posture du bâtisseur
Il a conclu en promettant de «se tenir debout» et de vouloir «bâtir quelque chose», plutôt que d’accepter le déclin. Une manière de transformer une controverse sur le ton en une déclaration de principes, positionnant le Parti québécois comme le seul véritable rempart contre la décomposition culturelle et linguistique du Québec.
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.