Fin de l’humanité : la prédiction d’Elon Musk confirmée par des scientifiques… mais pour quand ?

Elon Musk n’est pas qu’un entrepreneur excentrique. Pour lui, vivre sur Mars n’est pas une option, c’est une urgence. Lors d’une entrevue, il a expliqué que « ce n’est pas pour visiter Mars une fois, mais pour faire de l’humanité une civilisation multi-planétaire ». Pour Musk, la Terre finira par brûler, et il faut préserver la conscience humaine ailleurs. Mars devient alors un plan B cosmique, une sorte d’assurance-vie pour notre espèce.

Si la menace ne vient pas d’un astéroïde ni d’un virus, elle viendra du Soleil lui-même. Musk l’affirme : « le Soleil s’étend progressivement et finira par incinérer la Terre ». Ce n’est pas une idée sortie de nulle part. De nombreux astrophysiciens confirment que notre étoile est en constante évolution. Même si ce processus prendra des milliards d’années, il est inévitable. Et l’issue est claire : la Terre deviendra inhabitable.

C’est au Japon que des chercheurs de l’université Tōhō ont simulé le destin de notre planète. Grâce à des superordinateurs puissants et des modèles mathématiques très avancés, ils ont annoncé une estimation : la Terre sera invivable pour les humains bien avant sa destruction physique. L’élévation des températures, l’intensité de la lumière solaire et la chute progressive de l’oxygène rendront toute vie humaine impossible.

Et voici la date qui concentre toutes les attentions : l’an 1 000 002 021. Selon l’étude parue dans Nature Geoscience, c’est à cette époque que l’environnement terrestre ne pourra plus soutenir la vie humaine. La Terre ne sera plus qu’un enfer stérile, sans air respirable. Même si cela paraît très lointain, cette projection nous oblige à réfléchir à notre fragilité. D’ici là, il faudra soit s’adapter, soit… partir.

Ce n’est pas demain que tout va s’éteindre. Mais la science, cette fois, ne parle plus au conditionnel. Entre un Soleil qui se transforme et une planète qui se réchauffe, l’avenir de l’humanité sur Terre n’est pas éternel. Il nous reste du temps, certes, mais ce temps a une limite, gravée dans les équations de l’univers. Et pendant que certains rêvent de Mars, peut-être est-il temps de mieux prendre soin de ce que nous avons ici, tant qu’il est encore temps.

source étude : nature