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RFK Jr. s’attaque au vaccin contre l’hépat B à la naissance
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Un virage brutal pour la santé publique

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C’est un sacré bouleversement qui vient de se produire, et franchement, ça laisse un goût amer. Cette semaine, le comité consultatif sur la vaccination – vous savez, ceux qui sont censés nous guider – a décidé de balayer d’un revers de main trente ans de politique sanitaire. Sous l’influence directe de Robert F. Kennedy Jr., ils ont voté pour annuler la recommandation systématique du vaccin contre l’hépatite B à la naissance. C’est un peu comme si on décidait soudainement d’enlever la ceinture de sécurité obligatoire, sans véritable raison valable, juste pour changer les règles.

Vendredi matin, la décision est tombée : huit voix contre trois. Au lieu de protéger tous les nouveau-nés dès leurs premiers souffles, le comité préfère désormais laisser le choix au « cas par cas ». De nombreux experts tirent la sonnette d’alarme, et je les comprends parfaitement. Ils expliquent qu’on joue littéralement avec la sécurité de nos enfants, sans aucune preuve solide pour justifier un tel retour en arrière. C’est inquiétant, non ? On a la désagréable impression que la science passe après la politique dans cette histoire.

Un comité qui sème le doute

lanature.ca (image IA)
Il faut dire que ce comité n’a plus grand-chose à voir avec celui d’avant. En juin dernier, un grand ménage a été fait : tous les anciens membres ont été remerciés du jour au lendemain, sans préavis ni explication. À la place, on retrouve des personnalités qui, disons-le franchement, n’ont pas toujours porté les vaccins dans leur cœur. Certains ont même tenu des propos plus que douteux par le passé, liant faussement certains vaccins à des maladies graves. C’est un peu comme confier les clés du poulailler au renard, si vous me passez l’expression populaire.

Depuis ce changement de direction radical, on sent bien que le vent tourne. Ils avaient déjà commencé à grignoter certaines recommandations sur la grippe ou la rougeole, mais là, on touche à un pilier fondamental. Le président actuel du comité a lui-même propagé des idées fausses sur le Covid récemment. C’est assez déroutant pour nous, simples citoyens, de voir des décisions de santé publique prises par des gens qui semblent douter de la médecine elle-même. On se demande bien, avec une certaine inquiétude, où tout cela va nous mener dans les mois à venir.

Pourquoi cette piqûre est-elle si cruciale ?

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Mais au fond, pourquoi est-ce si important, cette vaccination dès la naissance ? L’hépatite B est une maladie sournoise qui se transmet par les fluides, et malheureusement, une mère peut la passer à son bébé sans même le savoir lors de l’accouchement. Depuis 1991, cette stratégie a permis de sauver énormément de vies en évitant que les tout-petits ne développent une infection chronique. C’est tragique, mais un enfant infecté a de gros risques de souffrir plus tard de cirrhose ou de cancer du foie. C’est une protection vitale, pas un simple caprice médical.

Le problème, c’est que le comité n’a présenté aucune preuve sérieuse pour dire qu’il fallait arrêter. Ils ont évoqué des risques vagues, comme la sclérose en plaques, alors que des tonnes d’études ont prouvé le contraire depuis des lustres. Retarder la dose d’un mois ou deux, ça paraît anodin, mais ça laisse une fenêtre de tir au virus. Environ 17 000 bébés naissent chaque année de mères positives ; sans ce bouclier immédiat, ils sont terriblement vulnérables. C’est prendre un risque inutile avec des vies innocentes.

Conclusion : Entre chaos et résistance

La réunion elle-même semblait sortie d’un mauvais film, avec une désorganisation totale. C’était la pagaille, personne ne savait vraiment sur quoi ils votaient, et les textes changeaient à la dernière minute. Finalement, ils ont décidé que les parents devraient consulter leur médecin pour décider « si ou quand » vacciner. C’est absurde de mettre ce poids sur les épaules des parents ! Heureusement, tout le monde ne marche pas au pas. Des pédiatres et certains États, comme New York, ont déjà dit qu’ils continueraient à protéger les bébés dès la naissance, quoi qu’en dise le comité.

Malgré tout, je crains qu’il y ait de la casse. Même si beaucoup de médecins résistent, certains enfants passeront forcément à travers les mailles du filet. Une étude récente montre que ce simple délai de deux mois pourrait causer des décès et des infections évitables. C’est triste à dire, mais on dirait que l’idéologie a pris le pas sur le bon sens médical. Il va falloir être vigilant et écouter ceux qui s’appuient sur des données réelles, et non sur des peurs infondées.

Selon la source : gizmodo.com

Source : biospace.com

source : chop.edu

Source : globalhep.org

Source : cidrap.umn.edu

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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