Vous rêvez de partir en croisière ? Voici ce que ce médecin veut que vous sachiez avant d’embarquer
Auteur: Simon Kabbaj
Partir en croisière évoque souvent des images de soleil, de buffets à volonté et de détente sur l’eau. Pourtant, derrière ce tableau idyllique, des zones d’ombre subsistent. Un médecin a récemment pris la parole pour expliquer pourquoi il ne mettra jamais les pieds sur un navire de croisière – et son raisonnement donne froid dans le dos. Avant de réserver vos prochaines vacances, prenez le temps de lire ce témoignage.
1. Des lieux clos propices à la contagion

À bord d’un paquebot, des milliers de personnes vivent et interagissent dans un espace restreint. Les passagers touchent les mêmes rampes, mangent dans les mêmes restaurants et participent aux mêmes activités. Dans un tel environnement, le moindre virus peut se propager comme une traînée de poudre, contaminant des centaines de personnes en quelques heures.
2. Une réalité bien connue des équipages

Selon plusieurs membres du personnel de croisière, les épidémies font partie du quotidien. L’un d’eux décrit la situation avec ironie : « Les norovirus se propagent plus vite que les ragots au bar des employés. » Cette remarque, bien que légère en apparence, reflète l’ampleur du problème sanitaire sur certains navires.
3. Le paradoxe des inspections sanitaires

On pourrait croire que de telles situations sont strictement encadrées. Et pourtant, les inspections sanitaires sont en baisse. Aux États-Unis, le programme de salubrité des navires, géré par le CDC, a récemment subi des coupes budgétaires inquiétantes. Moins d’inspections signifie moins de contrôle sur l’hygiène à bord.
4. Une hausse des épidémies inquiétante

Le médecin qui s’exprime, le Dr Rubin, révèle un chiffre alarmant : 12 épidémies de norovirus ont déjà été recensées cette année sur des croisières, contre seulement huit l’an dernier. Ce constat soulève une question légitime : les navires sont-ils toujours sûrs pour les passagers ?
5. Une vérité dérangeante derrière les sourires

Ce que le Dr Rubin dénonce, c’est aussi le manque de logique dans les décisions politiques. Les compagnies de croisières paient elles-mêmes pour les inspections… qui sont réduites. Résultat : le risque sanitaire augmente sans même permettre d’économies pour les contribuables. Et pendant ce temps, des passagers reçoivent des glaces gratuites – parfois pour une raison macabre : manque de place à la morgue.
6. Le médecin refuse d’embarquer : voici pourquoi

“Vous ne me verrez pas sur un bateau de croisière de sitôt”, affirme le Dr Rubin. Pour lui, l’équation est simple : trop de monde, pas assez de contrôle, et un terrain parfait pour les virus. Tant que les inspections sanitaires seront négligées, ces villes flottantes resteront, selon lui, des bombes à retardement pour la santé publique.
Conclusion – Mieux vaut prévenir que guérir

Derrière les piscines et les spectacles à bord, les croisières cachent parfois une réalité bien moins glamour. Les avertissements du Dr Rubin ne visent pas à faire peur, mais à inviter à la prudence. Car avant de lever l’ancre, il vaut peut-être mieux se demander ce qu’on risque vraiment de ramener à la maison…