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Une bactérie mal-aimée pourrait-elle nous protéger de la maladie d’Alzheimer ?
Crédit: freepik

Toutes les trois secondes, quelque part dans le monde, une nouvelle personne développe une forme de démence. La plus connue, et de loin la plus fréquente, c’est la maladie d’Alzheimer. Elle représente une énorme partie des cas. On a beau faire des progrès pour la comprendre, on n’a toujours pas trouvé de remède miracle. C’est un vrai casse-tête, surtout parce que les causes sont multiples et encore un peu floues.

On sait quand même que deux coupables jouent un rôle majeur. Imaginez deux petites protéines qui sèment la zizanie dans le cerveau. La première, l’amyloïde-bêta, forme des sortes de plaques collantes entre les cellules du cerveau, ce qui les empêche de bien communiquer. La seconde, la protéine tau, s’accumule à l’intérieur de ces mêmes cellules et finit par les détruire de l’intérieur. C’est la signature de la maladie.

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