
On attend tous la Coupe du Monde de football avec impatience, c’est un moment de joie qui rassemble tout le monde. Celle de 2026, qui doit avoir lieu en partie aux États-Unis, approche à grands pas. Mais voilà, une grosse inquiétude commence à monter. Des questions se posent sur la capacité du pays à bien accueillir les millions de supporters, surtout si Donald Trump est au gouvernement. On parle d’un gouvernement qui serait de plus en plus “autoritaire”, c’est-à-dire très strict et qui laisserait peu de libertés. Cela crée des tensions avant même le premier coup de sifflet.
Le cœur du problème : pourquoi s'inquiéter du gouvernement Trump ?

Alors, qu’est-ce qui coince exactement ? Eh bien, il y a déjà des doutes sur qui pourra venir ou non. Souvenez-vous, le président Trump avait mis en place une interdiction de voyager pour plusieurs pays. Le souci, c’est que parmi ces pays, il y a l’Iran, dont l’équipe de foot est déjà qualifiée pour le tournoi ! Comment feront leurs supporters ?
Et ce n’est pas tout. Ses politiques très dures sur l’immigration font peur. Les gens craignent que l’ambiance ne soit pas à la fête mais plutôt à la méfiance. C’est un peu comme préparer un grand repas de famille mais s’inquiéter que certains invités soient refoulés à la porte.
Un appel fort à la FIFA : plus de 90 associations montent au créneau

Face à cette situation, des gens ont décidé d’agir. Imaginez, plus de 90 groupes qui défendent les droits des citoyens ont signé ensemble une lettre. Et pas n’importe laquelle. Une lettre adressée directement au grand patron de la FIFA, Gianni Infantino.
Leur message est clair : ils demandent à la FIFA d’utiliser son influence, de parler publiquement au gouvernement américain. L’objectif ? S’assurer que les droits fondamentaux de tout le monde soient garantis. Pas seulement ceux des millions de visiteurs étrangers, mais aussi ceux des immigrés qui vivent et travaillent déjà dans les villes qui accueilleront les matchs.
Ils le préviennent même : s’il ne fait rien, la FIFA donnera l’impression de soutenir un gouvernement qui bafoue les droits, et ça, ça ternirait son image. Un peu comme si on utilisait le beau logo de la Coupe du Monde pour cacher des choses pas très jolies.
Qui sont ces groupes qui haussent le ton ?

Ce ne sont pas de petites associations inconnues, loin de là. Parmi les signataires, on trouve des noms très connus comme Human Rights Watch et Amnesty International, qui sont respectés dans le monde entier pour leur défense des droits humains. Il y a aussi des organisations américaines très importantes et anciennes, comme la NAACP, qui lutte pour les droits civiques depuis 1909, et l’ACLU, qui a plus de 100 ans.
Et ce qui est encore plus frappant, c’est que des associations de tous les États américains où auront lieu des matchs (New York, Floride, Texas, Californie…) ont signé. Un expert a même dit que ce genre d’intervention était « très inhabituel » pour un grand événement sportif aux États-Unis. Ça montre bien à quel point la situation est jugée sérieuse.
Et pour les visiteurs, quels sont les risques concrets ?

La lettre s’inquiète surtout pour les 2,6 millions de visiteurs attendus pour l’été 2026. On parle de contrôles d’immigration beaucoup plus stricts, d’opérations de la police de l’immigration (appelée ICE) qui peuvent être brutales, et de restrictions aux frontières qui créent un climat de peur.
D’ailleurs, ce n’est pas juste une crainte en l’air. Apparemment, plusieurs gouvernements étrangers ont déjà publié des avertissements pour leurs citoyens. Ils leur conseillent d’être prudents s’ils voyagent aux États-Unis, car ils risquent de se voir refuser l’entrée ou même d’être détenus et renvoyés chez eux. Pas vraiment l’accueil chaleureux qu’on attend pour une Coupe du Monde.
Conclusion : Le ballon est maintenant dans le camp de la FIFA

Voilà où nous en sommes. Une magnifique fête du football se prépare, mais elle est assombrie par de sérieuses préoccupations politiques et humaines. Des dizaines d’organisations respectées ont demandé à la FIFA d’intervenir et de ne pas rester les bras croisés.
Tout le monde retient son souffle et attend de voir la réaction de son président, M. Infantino. Va-t-il prendre ces avertissements au sérieux et défendre les valeurs d’ouverture du sport ? Ou choisira-t-il de garder le silence pour ne pas faire de vagues ? De sa décision dépendra en grande partie l’ambiance de cette Coupe du Monde 2026.
Selon la source : irishstar.com