Une femme de 35 ans est convaincue que son cancer incurable est causé par une habitude qu’elle faisait tous les jours
Auteur: Simon Kabbaj
Quand Bisma, 35 ans, a appris qu’elle avait un cancer incurable, elle a immédiatement cherché à comprendre pourquoi. En bonne santé apparente, aucun facteur de risque évident… sauf peut-être cette habitude quotidienne, qu’elle pensait inoffensive. Aujourd’hui, elle en est convaincue : ce geste répété chaque jour aurait pu tout changer.
Une vie qui semblait saine

À première vue, rien ne la prédestinait à une telle maladie. Elle ne fumait pas, faisait du sport et essayait de manger équilibré. Professionnelle accomplie dans le domaine de la finance, Bisma donnait l’image d’une femme forte et en contrôle.
Un quotidien surchargé

Les journées de Bisma ne semblaient jamais assez longues. Réunions, dossiers urgents, déplacements… elle courait sans cesse, repoussant ses limites au nom de la performance. Les pauses étaient inexistantes, les nuits écourtées, et le stress devenait une seconde nature. Pourtant, elle n’imaginait pas une seule seconde que cette routine allait, un jour, se retourner contre elle.
Le moment où tout bascule

Ce n’est qu’après son diagnostic que Bisma a commencé à tout revoir dans sa vie. Elle a repensé à ses habitudes, à ce qu’elle faisait chaque jour sans y prêter attention. Elle a réexaminé ses choix, ses réflexes automatiques, et cette impression constante de ne jamais en faire assez. Quelque chose dans sa routine revenait sans cesse à son esprit, un détail trop souvent négligé.
Une alerte ignorée pendant trop longtemps

Elle a fini par admettre qu’elle avait ignoré tous les signaux. Les douleurs, la fatigue, les vertiges… elle les attribuait au stress ou au manque de sommeil. Même lorsque son corps criait à l’aide, elle se disait qu’elle se reposerait plus tard. Aujourd’hui, elle parle de ce passage de sa vie avec une sincérité désarmante : « Je croyais que j’étais invincible. »
Le geste quotidien qu’elle faisait

Dans un post Instagram devenu viral, Bisma a révélé ce qu’elle pense être le cœur du problème : une consommation excessive de café et de nuits blanches à répétition. Selon elle, ces choix alimentaient un stress permanent et ont mis son corps à rude épreuve. Bien que les chercheurs ne confirment pas un lien direct entre le stress et le cancer, ils s’accordent à dire que le stress chronique peut mener à des comportements nocifs qui, eux, augmentent les risques : tabac, malbouffe, manque de sommeil…
Conclusion – Prendre le temps, c’est se sauver

Le cas de Bisma rappelle une chose essentielle : écouter son corps et ralentir n’est pas un luxe, mais une nécessité. Même si la science ne confirme pas ses soupçons, son témoignage soulève un point crucial : une vie sans repos peut avoir un coût élevé. Elle invite chacun à reconsidérer ses priorités avant que le corps, un jour, n’impose ses limites.